27 novembre 2012

25-11-2012 La Route des 4 Châteaux d'Emmanuelle et Philippe

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Des mousquetaires, des éléphants, des bouffons, et des cors de chasse, le tout sous un ciel bleu en région parisienne. Il s’agit bien d’un voyage dans le temps dans la vallée de Chevreuse, et ce n’est pas 4 châteaux mais 5…

Le château de la Madeleine est juste un point de vue, car même en VTT il est difficilement atteignable mais il fait partie du paysage.

Les femmes partent à 9h35 et les hommes 10mn plus tard, les rues étroites nous obligent à nous faire un chemin pour atteindre la ligne de départ. Je me faufile, Philippe attend son départ. Point de rendez-vous à l’arrivée. Nous croisons Pascale, la fidèle au poste comme d’habitude, une embrassade nos félicitations en « live » pour son marathon de Toulouse et hop on y va.

Je n‘ai pas l’intention de faire un chrono, le semi de Beaune n’est pas loin, et cette « course » je la considère comme une sortie, car les paysages sont superbes et les parcs des châteaux rien que pour nous ; allier course et loisir, quel plaisir.

Les premiers kilomètres passent vite, les premiers hommes me doublent juste après le 5ème kilomètre, ma montre indique un peu plus que 27mn, je suis bien et je me demande où en est Philippe. Mais l’arrivée au château de Breteuil est difficile, ça grimpe fort, le sol est glissant, certains marchent, les hommes carburent et moi je gère ma course, les côtes ce n’est pas vraiment mon truc, alors je tire sur les bras et je raccourcie ma foulée, ouf c’est terminé ! Je profite du paysage et des couleurs de l’automne, je respire, c’est bon d’être en pleine forme !
Pascale me rejoint on discute quelques minutes et nous nous séparons.

Je m’arrête au ravitaillement du 11ème kilomètre, un peu d’eau, un peu d’orange, des tucs (hum c’est bon les tucs) et je repars. Je fixe une femme devant moi, que je trouve d’un âge certain, et je me dis, plus tard moi aussi je veux être comme ça, quel mérite. Puis je double les handisports, un non-voyant et son guide, je les encourage et les félicite aussi.

Château de Coubertin, c’est le dernier, j’ai les mollets qui se sont durcis et surtout j’ai trop serré mes chaussures de Trail, j’ai mal aux pieds !!!! Elles sont en « rodage » je le sens bien, mais il me reste pas beaucoup de kilomètres alors je ne prends pas le temps de desserrer mes lacets [j’aurais dû, vu la taille de l’ampoule !!!]

Des déguisements me doublent, l’ambiance est bonne et conviviale. La piste cyclable signale l’arrivée, c’est un faux plat montant assez cassant, je n’ai plus de jambes mais du granit à la place des mollets. Les supporters encouragent les coureurs, c’est la fin. Je passe la ligne d’arrivée, en 1h34.

Le parcours faisait 16.6 km cette année et il était bien agréable, celui d’il y a 2 ans comptabilisait environ 18 km. Je vais rejoindre les supporters et je guette Philippe, qui arrive, la foulée légère, je l’encourage et il passe lui la ligne en 1h32.

Belle course, beau soleil, nous avons été trop vite, les navettes redémarrent qu’à midi, alors après avoir croisé Hubert nous partons en marchant rejoindre la voiture à 1.5 km de là. Nous encourageons les coureurs qui arrivent, applaudissons les éléphants et les clowns qui peinent et les derniers qui ont le mérite et le courage de ne pas abandonner.

Si vous avez l’occasion de faire cette course, nous vous y invitons, elle est vraiment très sympa, mais les places sont rares, alors à vos agendas pour 2013.



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24-11-2012 Nathalie court son 2e Fun Trail nocturne

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2ème participation au Fun Trail pour sa 4ème édition. Rappelons que 3 distances sont proposées : 6 - 10 ou 21 km jour et/ou nuit et cumulables pour les plus accros ! 

Comme l'an dernier, je me suis contentée d'un petit 10km nocturne ! La température était douce à 18 heures, pas besoin du bonnet et des gants laissés dans mon sac à dos, un tout petit peu de vent dans la cour de la ferme en attendant les consignes habituelles d'organisation. Les vélos des pisteurs couverts de boue laissent entrevoir ce qui nous attend...


Top départ en cote pierreuse, on piétine un peu mais l'ambiance est super. Un petit plat et première grosse descente dans la boue, ça glisse, on nous avait prévenu : 1er arbre en travers et anticipation à prévoir pour le freinage difficile !


Tout le parcours sera ainsi : boueux, que dis-je, méga boueux ! Par endroit, on ne peut même pas courir, même marcher s'avère difficile tellement on s'enfonce ! Encore 2 grosses côtes, des descentes bien glissantes ou les jambes partent dans tous les sens, les bras rééquilibres tout ça ! Des arbres couchés , un fossé à enjamber,...mais c'est Koh Lanta ! I'm a survivor !


Avec toutes ces émotions, comme l'an dernier, l'arrivée est sublime : balisées sur quelques centaines de mètres avec de petites bougies. A mon chrono : 1h10, et malgré les conditions décrites, j'ai grapillé 5 mn par rapport à l'an dernier. De quoi aller me ravitailler copieusement au stand dressé dans la cour de la ferme : le meilleur ravitaillement du monde ! Rien que pour ça, il faut venir !


A l'année prochaine, peut-être sur le 21 km mais... je ne veux pas le faire seule : l'invitation est lancée...

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25-11-2012 Frédérique et Baptiste sur la Route des 4 châteaux

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Dimanche matin, ma femme et moi prenons le départ de la course nature de la Route des 4 Châteaux en vallée de Chevreuse accompagnés de deux amis coureurs. 

Le parcours est très agréable (16km500) et agrémenté de quelques côtes dans la forêt (105 mètres de dénivelé positif). Nous terminons la course très content de nos temps respectifs (1h40 pour Fred, 1h23 pour moi) mais très fatigués.




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20 novembre 2012

17-11-2012 La 2e édition du Semi de Beaune pour Emmanuelle et Philippe

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Beaune, Volnay, Pommard, Meursault, pour les œnologues avertis  cela dira quelque chose, et pour les sportifs mais néanmoins amateurs de bonnes choses, se sont les terres de vignobles traversées par le parcours  du semi.

Pour notre seconde participation, cette année le brouillard nous avait ouvert le ciel pour se parsemer d’éclaircies. Identique à l’année dernière, j’avais oublié que le parcours comportait de nombreux faux plats montants mais certainement pas la côte du 16ème kilomètre !!!

A 14h c’est le départ, un peu de bousculades mais rien de bien méchant, nous arrivons vite dans les vignes où le cortège s’éparpille. Certains sont déguisés et les touches vestimentaires vives colorent  le paysage.

Philippe est à mes côtés, la foulée est légère mais le ventre trop plein. Je regarde le paysage et je pense à mon objectif, moins de 2h, moins de 2h.

Au 10ème kilomètre je suis à 53mn59 je suis ravie mais je ne m’emballe pas il y en a encore à faire. Philippe me distance doucement, je le garde en « visu ». La montée se gère mais nous éloigne, je le rattrape au 15ème et le chrono affiche 1h22, je n’en crois pas ma montre. J’espère…mais la côte du 16ème me sèche, Philippe s’éloigne et moi je peine. Je ne veux pas me « cramer » alors j’abandonne le fait de rejoindre Philippe. J’ai du mal, je me refuse de regarder mon chrono et je me dis que je vais me ressaisir dans la descente. Je m’accroche et je relance, en pensant aux conseils de mon entraineur, de la fréquence, de la fréquence !!! J’accélère au niveau du 18ème  kilomètre. J’y crois et je ne regarde toujours pas ma montre, mais je me sens bien, l’entrainement apporte une meilleure récupération, je cherche Philippe du regard et je pense qu’il a déjà passé la ligne d’arrivée. Les derniers kilomètres défilent, j’aperçois le chrono officiel et je vois 1h58, j’allonge la foulée et je sais que j’ai atteint mon objectif. Je franchis la ligne d’arrivée, je stoppe ma montre et je vois 1h57, c’est génial je suis très contente.

Philippe était déjà là à m’attendre je lui saute dans les bras, c’est extra. C’était important pour moi car cela présage de l’objectif du marathon sur ma base d’entrainement future pour 2013. Philippe, lui a terminé en 1h55, je l’admire, car il s’entraine beaucoup moins que moi et il a des semaines professionnelles très chargées & longues. Je le félicite & l’admire, il a beaucoup de mérite, bravo.

Le soleil, l’atteinte d’un objectif c’était super. Alors le soir pour fêter çà, rien de tel qu’un bon verre de Vin, non ?

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12 novembre 2012

Portrait de coureurs : Emmanuelle


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Bonjour Emmanuelle,

Et bien voilà, cette semaine, c’est toi la grande star ! Et oui, toutes les lumières et tous les projecteurs vont être tournés sur toi….tu n’as maintenant pas d’autre choix que de répondre…à toutes nos questions !

Tu es prête ?
Magnéto…ça tourne...


Alors, avant de nous parler sport, peux-tu te présenter et nous dire qui tu es ?
Emmanuelle [bientôt 39 ans] 2 enfants de 15 et 12 ans. Joyeuse et positive, j’aime rire et apprendre & découvrir.

Depuis combien de temps pratiques-tu la course à pied ?
Je détestais courir quand j’étais plus jeune et l’épreuve d’endurance au bac a été une vraie torture. Je me suis mise à courir en 1997 pour perdre les 20 kilos restants de ma 1ère grossesse !!! Les choses sont devenues sérieuses en 2006, où je me suis inscrite à la Parisienne (42'57) et c’est là que tout a commencé. Puis 5km, puis 10 & 15 et mon premier semi, celui de Paris (2h08).

La Parisienne 2011 - Groupama Paris Val de Loire

Qu’est ce qui t’a motivée à choisir la course à pied plutôt qu’un autre sport ? Peut-être d’ailleurs que tu en pratiques plusieurs ? Si oui, lesquels ?
Ma première motivation c’est l’accessibilité, on peut courir partout et avec peu d’équipement. Même que 30 mn. J’ai la chance d’habiter dans une région bordée de bois, parcs et autres chemins qui facilitent les sorties. De plus, je me suis rendue compte que j’étais entourée de coureurs. Philippe lui aussi pratique la course à pied et cette pratique m’a permis également d’arrêter complètement le tabac.
Philippe m’a fait découvrir le VTT, son rêve m’emmener faire la trasnvolcanique – qu’il a faite 2 fois - je pratique en parallèle le fitness et j’ai arrêté le step cette année pour me concentrer à la course à pied.

Tu es donc maman de 2 grands enfants. Pas toujours simple de concilier toutes nos vies Comment fais-tu pour t’organiser et trouver un équilibre entre le sport, la vie de famille, la vie professionnelle et ta vie avec, Philippe, ton amoureux ?
Mon équilibre se trouve tout naturellement dans le partage. Je cours avec mes enfants ou ils me suivent en vélo, de temps en temps. Ils aiment tous les 2 le sport ce qui facilite les sorties. De plus ils sont grands alors ils se gèrent et j’ai besoin aussi dans la course de parfois me retrouver seule. C’est fou comme la course permet inconsciemment de réfléchir à une tonne de choses.

Avec Philippe on aime courir ensemble le dimanche matin, avant ou après le marché et les courses en province ou à l’étranger sont toujours l’occasion de s’échapper pour un week-end prolongé en amoureux et ainsi allier sport et tourisme.

Tu as rejoins l’association Cap Groupama il y a quelques années. Depuis ce mois de septembre, et j’en suis très heureuse, tu es Secrétaire de l’Association. Quand es-tu entrée dans l’Association et qu’est ce qui t’a motivée à rejoindre ce groupe ?
Un véritable hasard. Je prenais le départ de mon 1er Paris-Versailles quand je me suis retrouvée encerclée de T-Shirt CAP GROUPAMA. J’ai donc discuté avec Raphaël qui m’a tout expliqué en attendant le départ. La semaine suivante je prenais contact et voilà j’étais une nouvelle adhérente. Je suis ravie de courir aux couleurs de mon entreprise et j’ai en plus rencontré des gens très sympathiques. Depuis septembre, effectivement, je suis secrétaire de l’association, petit rôle qui me tient à cœur, et que je vais essayer de tenir le mieux possible en apportant ma contribution par des choix de sorties, de logistique ou autre.

Depuis septembre 2011, je suis inscrite également dans le club d’athlétisme de ma commune ; je prends beaucoup de plaisir à y aller. J’ai là aussi rencontré plein de personnes très sympa et je commence à voir les bienfaits des entraînements sur la récupération et ma « vitesse ».

Je sais que tu prépares une belle aventure. Il me semble que tu es bien accompagnée pour arriver au top le jour du Grand rendez-vous. Peux-tu nous en parler ? Nous dire quel est ce projet que tu prépares, comment tu t’y prépares, ce qui t’a donné envie de vivre cette aventure ?
Ah oui l’année prochaine je vais avoir 40 ans, et depuis quelques années je dis, avec mes copines coureuses, 42 km pour nos 40 ans !!!. C’est fou comme le temps passe vite...

J’ai mis très longtemps pour prendre ma décision, car pour moi ce fameux marathon est une véritable épreuve mentale et physique qui ne s’improvise pas. Il ne suffit pas de courir 2h de temps en temps ; Je ne veux pas m’abîmer, ni être « ruinée » pendant 3 semaines après. Une fois la décision prise, il fallait trouver le « bon marathon », province ou Paris et surtout qu’il corresponde au calendrier c'est-à-dire qu’il soit à une période qui favorise les entraînements, c'est-à-dire pas à la rentrée de septembre. 

Nous sommes longtemps restées avec ma copine Mag sur celui du Mont St Michel, mais beaucoup d’athlètes qui nous entourent nous l’ont déconseillé. Alors début octobre la décision a été prise de faire PARIS le 7 avril prochain.

Les inscriptions sont faites il n’y a plus qu’à.

Pour l’instant je suis sereine et déjà fière, mais je sais que je vais vite « déchanter » d’ici quelques mois. Je me rassure dans le fait que j’ai le temps, que je suis régulière dans mes entraînements et que je suis surtout très bien entourée. Philippe me rejoindra pour le second semi et j’ai un ami d’enfance qui monte d’Albi pour faire mon lièvre. Mes enfants seront là pour me soutenir également. Positive attitude et go !

Il s’agira donc de ton 1er marathon ! Une distance qui fait rêver plusieurs d’entre nous. Tu es encore à plusieurs mois de l’échéance, mais aujourd’hui si tu devais nous donner un objectif pour cette première expérience, quel serait-il ? Un objectif de performance et/ou un objectif de plaisir ?
Je me suis inscrite dans le sas des 4h30. Que l’aventure commence.
Je lis beaucoup d’articles. Des encourageants, des moins encourageants, mais j’y crois. Je veux le finir le mieux possible et prendre plaisir, sans sous estimer l’énergie que cela va demander.

J’ai confiance en mon coach qui commence à me connaître et qui sera me dire ce qui est bon de faire et de ne pas faire. Le fait de le préparer aussi avec ma copine Magalie, c’est que l’on sera là pour se motiver et s’encourager.

D’ici le mois d’avril 2013, date importante dans ton calendrier sportif, quels sont tes projets pour la fin de l’année et le début de l’année prochaine ?
Mes projets : progresser
Non je prépare le Semi de Beaune en novembre suivi des 4 châteaux. Si je peux faire Beaune en moins de 2h cela serait génial pour les 4 châteaux, aucun chrono je profite du parcours.

En janvier je commence doucement l’entraînement pour le marathon. Mais là j’attends les conseils avisés de mon entraîneur.

As-tu envie d’ajouter quelque chose ?
Oui, la course est une véritable drogue, qui permet de découvrir des régions et de partager. Je pense aussi à l’après marathon, le « run & bike » me branche bien se sera peut-être le prochain challenge. Philippe lui rêve de gravir le Mont Blanc, alors tous ses projets je veux les vivre tant que j’ai l’envie et la forme et surtout les partager.

Merci beaucoup Emmanuelle de t’être prêtée au jeu des questions-réponses ! On va suivre ta préparation avec beaucoup d’attention et comme c’est à Paris que tu vivras cette belle aventure, on sera nombreux à venir t’encourager ! Tu peux nous faire confiance :)

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9 novembre 2012

04-11-2012 J'aurais dû courir le marathon de New York !

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Départ du Marathon NYC du Pont Verrazano, s'il avait eu lieu.

1 an que j'y pensais et que je le rêvais !
9 mois que mes billets d'avion et l'appartement étaient réservés !
2 mois que je m'y préparais et que je le travaillais !
Il devait avoir lieu le dimanche 4 novembre. Il a été annulé le vendredi 2 novembre.



Retour sur une semaine bien particulière...

Dimanche 28 octobre. Sandy nous devance.
Tout le monde sait que Sandy approche des côtes new yorkaises. 
L'ouragan est annoncé comme étant plus fort qu'Irène. Les new-yorkais se préparent à son arrivée. Ils se protègent. A la demande du Maire de New York, 375.000 personnes ont quitté leur domicile pour se mettre à l'abri.

Dans la soirée, je reçois ce message dans ma boîte réception.
Je m'y attendais. Mais déception malgré tout.
Et le marathon, est-il maintenu ?
Et va-t-on pouvoir partir si le marathon est maintenu ?
Egoïstement, je pense à moi avant de penser à tous ces gens qui s'apprêtent à vivre une nuit difficile. Etrange, non ?


Lundi 29 octobre. Sandy prépare son arrivée à New-York. Le marathon est maintenu.
Je téléphone à notre agence de voyages qui n'en sait pas plus que nous et ne peut pas nous dire si et quand nous pourrons partir.
Sandy arrive. Aucun espoir qu'elle dévie en mer ou que sa puissance réduise. New York s'apprête donc à vivre un moment difficile.

Mardi 30 octobre. Siège à Orly. Le marathon est maintenu.
A lire ici : Paris-Match
Sandy est passée et a fait de nombreux dégâts sur son passage. New York est sous l'eau. De nombreux foyers sont privés d'électricité et de chauffage. Les inondations ont tout détruit. Des incendies se sont déclarés par endroits. Les vents ont arraché les façades de certaines habitations.

Malgré tout ça, le marathon est maintenu.
Je devais partir en famille à New York. On décide d'aller à Orly pour tenter d'en savoir plus. Si jamais des vols sont réouverts, il vaut mieux être sur place que chez nous.

On part donc pour Orly. On aura passé la journée à attendre. Les vols pour New York ont tous été annulés. Notre compagnie nous propose une nuit d'hôtel à l'Ibis de l'aéroport. On accepte.


Mercredi 31 octobre. Encore un espoir pour partir... Le marathon est maintenu.
Dans l'avion :)
Réveil à l'hôtel Ibis. Le marathon est toujours confirmé par les organisateurs et le Maire de New York.

La fatigue morale de ces 2 derniers jours commence à prendre le dessus. On décide que si les vols ne sont pas réouverts aujourd'hui et/ou si on ne parvient pas à obtenir des places pour New-York aujourd'hui, on annule tout. Nos billets d'avion seront remboursés par la compagnie.

On retourne donc à Orly. Newark, aéroport de New York, semble réouvrir. Des avions sont programmés pour la fin de journée.

On attend. L'attente est longue et fatigante. Mais elle aura été récompensée car à 16h on apprend que nous avons pu obtenir 4 places pour le prochain vol annoncé à 16h45. Youpiiiii !!! Et deuxième youpi, ce vol est surclassé, nous voyagerons donc en classe affaires !!

Mercredi 31 octobre 21h00, heure locale (1h du matin en France), nous posons nos pieds sur le sol new yorkais. On aperçoit au loin Manhattan. Quelles sensations, on ose à peine croire qu'on y est arrivés et que nous sommes bien à New York !

Le temps de prendre un taxi et d'arriver à notre appartement, il est 23h. Bien fatigués par ces journées d'attente, on se couche...contents d'y être arrivés ! A nous New York !! A moi le marathon !!

Jeudi 1er novembre. 1er footing dans les rues de New York. C'est obligatoire !!
A lire : LE POINT
Impossible de se perdre ici. Les rues et les avenues portent le même numéro du début à la fin. Un vrai jeu d'enfants !

On regarde les informations à la télévision. Les médias parlent beaucoup du marathon. Il y a polémique. De nombreuses personnes ne comprennent pas qu'il soit maintenu alors que Sandy a fait de nombreux dégâts dans de nombreux quartiers. Que beaucoup de personnes ont été frappées de plein fouet et ont besoin d'aide pour reconstruire. La pression est forte pour le Maire de New York. Il  tient tête et décide de maintenir l'épreuve, mais quelque chose me dit qu'il ne pourra pas faire autrement que de l'annuler. 

Dans mon esprit, ça me semble complètement ahurissant à moi aussi que 50.000 personnes puissent faire la fête et attirer autant de bénévoles sur un événement aussi grandiose que le marathon de New York, alors que des milliers de personnes ont besoin d'aide et souffrent réellement des dégâts causés par Sandy.

Si le marathon est maintenu, je le courrai bien entendu. Mais je sais que l'ambiance et la fête qui font la légende de ce marathon, ne seront pas celles que j'attendais. Il y a comme un truc étrange qui ne tourne pas rond. Quelque chose qui rend l'événement bien moins grandiose qu'il devrait être.

Dans l'après-midi, je vais retirer mon dossard.
Les métros ne fonctionnent que jusqu'à la 42e rue. On fait donc une grande partie de nos déplacements à pieds. Ce qui nous permet de mieux découvrir cette extraordinaire ville. Car même abîmée, cette ville est extraordinaire ! On passe par Time Square et son incroyable boutique M&M's...impossible de ne pas revenir avec notre sachet de M&M's de toutes les couleurs et de toutes les tailles :)

Tout le sud de Manhattan est privé d'électricité et de chauffage. Les métros ont été inondés. 
Ici, on parle de 2 villes dans la ville. Il y a Dark-Manhattan et le light-Manhattan. A la vue de cette photo, on comprend mieux...
Photo : Iwan Baan (pour New York Magazine)
Par chance, nous sommes logés dans le nord de Manhattan, sur la 83e rue. Tout le nord a été relativement épargné par l'ouragan. Tout le sud, par contre, a été touché et fragilisé. Les écoles ont d'ailleurs été fermées toutes la semaine. 

Prête à partir !
Au village du marathon, je retire mon dossard, mon t-shirt, mes goudies. 
J'en profite aussi pour m'acheter un t-shirt supplémentaire avec lequel je courrais le marathon, et des manchettes pour patienter dans le SAS de départ. Car notre attente sera longue. Le ferry qui devait nous amener jusqu'à Staten Island sur le départ de la course, ne fonctionne pas. Les acheminements se feront donc en bus.

J'ai rendez-vous à 5h30 pour un départ à 10h05. Inutile de préciser que l'attente sera longue.... Dans le froid, il faut donc se protéger. Les manchettes, en plus du k-way et du survêtement que j'ai prévu de laisser sur place, devraient faire l'affaire.



Vendredi 2 novembre. Le marathon est annulé ! 
Annonce officielle : le marathon est annulé.
Il devait avoir lieu 2 jours plus tard et il est annulé.

Tous les coureurs avaient fait le nécessaire pour venir. Tous les coureurs avaient retiré leur dossard. Tous les coureurs étaient venus car on nous avait certifié qu'il aurait lieu. Mais IL EST ANNULÉ.

Je comprends l'annulation. Je partage la décision. Les new yorkais ne sont pas à la fête. Ils ont besoin d'aide, de soutien, de réconfort. Ils ont besoin qu'on s'occupe d'eux et qu'on les soutiennent dans ces moments difficiles.

Mais Sandy est passée depuis 4 jours déjà
Pourquoi ne pas l'avoir annulé avant ? 
Pourquoi avoir attendu que tous les coureurs aient fait le déplacement pour l'annuler ? 
Pourquoi l'avoir maintenu alors qu'il était clair depuis le départ que cette édition aurait un goût bien particulier ?

Goût amer en bouche. Déception.

Je suis venue en famille pour visiter New York, je me raccroche donc à l'idée que ce déplacement c'est aussi la chance de pouvoir visiter cette incroyable ville qui me semblait jusqu'à ce jour inaccessible.
Mais je suis aussi venue pour courir ce marathon.
2 mois que je travaille. 1 an que j'y pense tous les jours.

C'est étrange tous ces sentiments qui se mêlent les uns aux autres. Comprendre et être déçue en même temps, ça donne un drôle de mélange...

Samedi 3 novembre. Sortie "off" dans Central Park entre coureurs.
L'arche d'arrivée était installée
Central Park qui était fermé depuis l'arrivée de Sandy vient de réouvrir.

Avec d'autres coureurs, nous nous sommes donnés rendez-vous à 10h00 pour courir ensemble sur le parcours qui était censé être l'arrivée du marathon. L'arche d'arrivée était même installée. L'annonce des miles dans le park également. Les estrades prêtes pour accueillir les visiteurs. Les bouteilles d'eau, les médailles, les t-shirt "finisher" étaient également là, dans les cartons prêts à être déballés.

Il fait beau. C'est extra !
Nous sommes nombreux à courir. Sourires, joies, bonne humeur sont échangés.
J'aurai couru 17 km. Bon, c'est loin d'être un marathon je vous l'accorde. Mais le plaisir était vraiment là !

Patinoire de Central Park : magnifique !!


Dimanche 4 novembre. Jour du marathon. 
Vue du Rockfeller Center
Une autre sortie a été organisée. Cette fois avec davantage de coureurs. Certains ont même décidé de courir le marathon à leur manière : 4 fois le tour de Central Park (le tour du parc fait 10 km).
Je ne me suis pas rendue à ce rendez-vous. Il s'agissait, pour ma famille et moi, de notre dernière journée de visite. 3 jours en moins sur notre planning, ça se sent pour visiter une ville comme New York.

Les métros avaient presque tous réouverts leurs portes.
Ce qui nous a permis de pouvoir descendre plus bas dans Manhattan.
Vue imprenable sur Manhattan (extraordinaire, vraiment !!) depuis le 70e étage du Rockefeller Center. 
Visite de l'endroit où les Tours Jumelles se dressaient majestueusement.
Visite également de Wall Street, toujours sinistré. On sent ici que la ville n'a pas retrouvé la vie. L'électricité ne fonctionne toujours pas. L'eau est toujours présente dans les rues. Les magasins et les immeubles ont été ravagés par les inondations. Les rues sont sales. Les commerces font état des lieux des dégâts. Ici, on a vraiment la sensation que la ville s'est arrêtée de vivre.
Avec mon beau t-shirt
du marathon !

En fin de journée, vers 18h00, je suis quand même allée courir. Il faisait nuit, j'ai fait ma sortie dans les rues de New York. Tout est éclairé et prend une toute autre dimension la nuit. C'est juste MAGNIFIQUE !!

10km que j'ai couru à allure marathon. Bon, c'est encore loin des 42,195 km prévus au programme, mais les sensations étaient très fortes !







Lundi 5 novembre. Retour à Paris.
Je reviens à Paris avec l'envie de revoir New York. On n'a pas pu visiter tous les quartiers qui nous intéressaient : Staten Island (tellement dévastée par Sandy), Brooklyn, Harlem, Chinatown, le Queens....

Finalement, on a de très bonnes raisons de revenir. Très vite, je l'espère !
Car malgré le récit assez négatif qu'on peu lire ici, je suis ravie de mon séjour à New York.

Mon marathon est raté. C'est un fait. Mais New York est si belle, si grande, si majestueuse. J'ai hâte de la retrouver et de la découvrir sous de meilleurs jours :)

Un autre marathon pour compenser celui de New York ?
C'était mon idée de départ. 
Finalement non. Je ne veux pas d'un marathon de substitution. Je ne veux pas d'un marathon de remplacement.
Je veux maintenant passer à un autre objectif. 
Le marathon ? Ce sera pour 2013 maintenant !

Le marathon de New York en 2013 ?
Je ne sais pas encore. J'ai investi tant de préparation, de temps, d'espoir dans ce marathon pour en récolter beaucoup d'attente, de frustration et de déception.
Les organisateurs auraient confirmé que tous les inscrits 2012 étaient d'office inscrits pour 2013. A l'heure actuelle, je ne sais pas encore quelle sera ma décision.

Il me faut du temps pour me poser et prendre cette décision : 

Marathon de New-York en 2013 ou un autre marathon ?







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8 novembre 2012

28-10-2012 Un Marseille-Cassis TRÈS venteux pour Marie-Ange, Monique et Gérard !

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L’aventure c’est l’aventure !

Samedi 12H31
Nous débarquons du train en gare de Marseille St Charles. Le pique-nique ayant été pris dans le train, nous décidons de profiter un peu de la ville grâce au beau temps qui règne, malgré un petit vent qui souffle déjà. Direction Notre Dame de la Garde d’où nous avons un magnifique panorama sur la ville ; descente à pied au centre ville où nous nous promenons sur le vieux port  avant de gagner en bus le parc Chanot pour le retrait des dossards.


Samedi 18H00
Nous rejoignons Cassis en autocar par la Gineste. C’est l’occasion de voir le parcours du lendemain : il nous semble plus impressionnant en voiture qu’à pied ! A Cassis, le soleil s’est couché, le vent souffle, la température a chuté. A la télévision régionale, on annonce 3 degrés pour dimanche matin, des flocons au passage de la Gineste ; le préfet a demandé le démontage d’installations par mesure de sécurité. La pression monte !



Nuit de samedi à dimanche
Le vent souffle en rafales. A se demander parfois si les vitres de l’hôtel ne vont pas voler en éclats.

Dimanche 6H00
Au moment de passer sous la douche, panne générale d’électricité sur Cassis et la région. Nous serons donc privés de boisson chaude pour le petit-déjeuner.

Dimanche 8H30
Nous sommes arrivés à Marseille. Arrêt dans un bistro pour se réchauffer, prendre le café du matin que nous n’avons pas eu à l’hôtel.


Dimanche 9H00
Nous sommes dans le SAS de départ. Il fait froid malgré la double épaisseur de vêtements et le sac poubelle de protection.  ½ heure plus tard c’est le départ. C’est décidé : chacun pour soi. 
Premier objectif : ne pas se prendre les pieds dans les sacs poubelles que le vent fait voltiger. 
Ensuite, prendre son rythme et s’y tenir. 

Les kilomètres défilent, la pente s’accentue, le vent se fait sentir. Le pourcentage devient de plus en plus violent et la montée est longue, très longue. Enfin c’est la Gineste et le début de la descente. Mais c’est également le plateau de Carpiane où nous sommes accueillis par un char de la légion étrangère, les encouragements des beaux légionnaires et ... le vent. Nous sommes donc bousculés par de fortes rafales ; même dans le dos, c’est surprenant et il faut veiller à ne pas être déstabilisé.

Après deux ou trois faux plats montants qui atténuent l’euphorie générale, on aperçoit le cap Canaille et c’est la descente sur Cassis. Attention aux genoux : la pente est raide ! 

Encore un effort, un virage, et … c’est la côte des pompiers. Pas longue, mais bien raide. Il faut maintenant tenir, aller chercher les dernières ressources, l’arrivée est là à 1km. On débouche sur le port et on sait que c’est gagné.

Le chrono ? Important, certes, mais ce qui compte le plus ce sont les bons moments partagés, les galères qui font d’autant plus apprécier la beauté du paysage, la fierté personnelle de se dire «  j’y étais, je l’ai fait ».



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7 novembre 2012

28 10 2012 Pascale a couru son 1er marathon à Toulouse !

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Après un voyage en train jusqu’à Toulouse le samedi, Hubert et moi nous rendons chez mon frère près d’Auterive (au sud de Toulouse).

Pendant le repas, nous ne parlons pratiquement que de course à pied, c’est un peu toujours comme cela avant une course et encore plus avant un marathon.

Après une nuit un peu courte, il est bien difficile de s’endormir sereinement avant ce premier marathon, le jour tant attendu et tant redouté est enfin arrivé !

Ce dimanche 28 octobre, il y a beaucoup de vent sur Toulouse et il ne fait pas chaud le matin, 6 ° et 2­-3° en ressenti. Le départ a  lieu sur le pont Pierre de Coubertin sur le Garonne et donc en plein vent. Mais comme nous ne sommes pas très en avance pour nous mettre sur la ligne de départ ; nous n’avons pas trop de temps à attendre. Avec Hubert et mon frère Olivier, nous nous plaçons entre le groupe mené par les meneurs d’allure de 4h et le groupe des 4 h 30, il y a en tout environ un peu moins de 3 000 coureurs et beaucoup d’hommes  (320 femmes environ).

Nous partons environ 2- 3 minutes après les premiers, j’avale une pâte de fruit. Mon frère décide de tracer la route et je reste avec Hubert. Dans cette première partie nous aurons le vent de face. Les kilomètres défilent assez vite. Nous passons les 10 KM en 57 minutes, tout va bien. Nous nous arrêtons à chaque ravitaillement. Quant à moi j’avale un gel tous les 5 kms, juste avant chaque ravitaillement et ce à partir du 10ème Km.

Entre le 10 ème et 15ème, nous nous rapprochons des meneurs d’allure des 4 heures et du grand groupe de personnes qui les entoure. Il faut les doubler car c’est compliqué de rester au cœur de ces coureurs.
Nous profitons du ravitaillement du 15 ème km pour le faire.

Nous allons à bonne allure et nous passons le semi en 1:57:42. 
Nous continuons ainsi jusqu’au 27ème KM environ. Depuis le départ nous sommes partis vers le nord de Toulouse et nous avons quitté la ville pour courir dans la banlieue.  A partir de ce stade, pour moi c’est un peu l’inconnu qui commence, même si les sorties longues m’ont « éduquées » sur les longues distances.


Je ralentis un peu et je préfère qu’Hubert parte devant. C’est à partir de ce moment que j’ai un petit coup de blues. En plus vers le 29 ème km, j’entends les martèlements de la troupe des 4 heures juste derrière moi. J’essaie de résister, mais je me retrouve au milieu de cette troupe, puis derrière, un meneur d’allure de 4 heures tente de m’encourager à suivre. Peine perdue je suis derrière eux maintenant !

Je vois sur ma montre que ma vitesse moyenne a chuté depuis quelques temps déjà.
Mais je me dis qu’il faut se ressaisir, alors j’essaie et ça marche. Il y a pas mal de public depuis le début de la course pour nous encourager et des animations (chants et danses), c’est important également.

Je reprends « du poil de la bête » et je passe le 32 ème km en 2:59:39. 
Je pense que je rattrape quelques découragés des 4 heures à partir de ce stade.

A partir de ce moment tout va pour le mieux, Mélanie (la coach de la Parisienne) m’aide « mentalement » à passer tous les kilomètres, et je dis tout fort « Mélanie aide moi à passer ce KM » ! Et cela fonctionne à merveille ! Je cite aussi mes copines de course, tout fort souvent, je veux pouvoir leur dire après la course « vous pouvez le faire ! »

Vers le 37 ème  ou 38 éme km je double mon frère, c’est un moment difficile, il marche, il a des crampes. Je lui dis « On finit ensemble ». Mais il ne peut pas.

Il y a beaucoup de monde dans les rues de Toulouse, je vais bientôt arriver, je suis très émue, j’entre sur le tapis rose de la place du Capitole. Je franchis la ligne d’arrivée et j’oublie d’arrêter mon chrono !


C’est lorsqu’une bénévole me met une couverture de survie sur le dos et me dit bravo que je pense au chrono. Tant pis il me faudra attendre un peu pour avoir mon temps réel !

J’ai fini en 4:04:28. Hubert a fini 4:02:57 secondes et mon frère en 4:15:07.

Avant d’en finir, quelques mots sur le parcours du marathon toulousain : Le circuit est très roulant. Comme Toulouse est en fait une ville assez peu étendue, le marathon passe pendant environ 15 km dans les villes de la banlieue nord et parfois sur des portions de route au milieu des champs. 

Heureusement il n’y a pas trop de grandes distances à parcourir au milieu des champs et en plein vent ! Le circuit en ville est agréable, sur les grands boulevards avec énormément de public et dans le parc de la Maourine et le jardin de plantes où l’on se met un peu au vert !peut pr
ofiter d’un peu de verdure.
Il me reste plus qu’à remercier Mélanie pour son accompagnement attentif, tout au long de ces dix semaines de préparation et également un ami, très bon coureur, Bruno, de Chambéry, pour ses très bons conseils.

Et il me reste également à dire à tous et à toutes ceux et celles (surtout) qui n’ont pas encore tenté le marathon :
"Vous pouvez le faire !  N’ayez crainte ! Avec un bon entraînement, spécifique sur 10 semaines à raison de 3 ou 4 sorties  par semaine, tout se passera bien et en plus après vous ne serez ni blessé ni fatigué. Alors laissez- vous tenter… Vous n’en retirerez que du bonheur !"

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