30 mai 2011

29-05-2011 Paris St-Germain en Laye (20km)

Si vous rencontrez des difficultés à la lecture et l'ouverture de ce post, merci de cliquer sur ce lien : cap-groupama

20km Paris St-Germain en Laye selon Sandrine


Samedi soir, j'ai passé la nuit à Courbevoie avec mes copines de la R-Académie.

Une nuit un peu difficile. Il m'a fallu du temps avant de pouvoir trouver le sommeil : le stress du lendemain lié au fait que je dors mal lorsque je ne suis pas dans mon lit ont rendu ma nuit un peu trop courte.

Ce n'est pas grave...
La course était belle et je l'ai vécue pleinement. Mes derniers entrainements m'ont permis d'arriver sur la ligne de départ confiante et en forme.

Je m'étais programmé un plan de course pour tenter de terminer la course en moins d'1h40. Je l'ai finalement courue au feeling et j'ai bien fait, car les 2 côtes du parcours m'ont finalement semblé moins pénibles et moins redoutables que ce que je m'étais imaginé. Elles sont difficiles, je le confirme. Mais, elles restent réalisables si on gère bien sa course et son allure.

Le départ avait lieu au Jardin d'Acclimatation.
4500 inscrits.
Par chance, grace à ma participation en qualité de "R-Acamédicienne", je portais un dossard préférentiel (170), ce qui m'a permis d'être tout devant sur la ligne de départ.

8h00 TOP DEPART !
Je me suis tout de suite sentie en forme. Mes jambes me portaient bien. La météo était idéale (ni trop chaude, ni trop fraîche).
Je savais qu'il fallait garder de l'énergie pour la 1ère côte à Suresnes au 4e km. Cette première partie était simple : un faux-plat descendant que j'ai couru à une allure un peu plus soutenue que prévue mais qui correspondait totalement à mon état de forme. Je me suis donc laissée aller.

Km 4 à 5 - Mont Valérien
On me l'avait dit long. Il est long ! 1km de côte, c'est long !
On me l'avait dit difficile. Il est difficile !
Il est difficile, il est long, mais...je double ! Je suis en côte et je double ! Imaginez mon mental à ce moment là : au top !

Km 5 à 10 - Descentes, plat...du bonheur !
Ces 5km passent comme dans du beurre. Il s'agit de descentes, de faux-plats descendants, de plats dans des quartiers pavillonnaires calmes de Nanterre et Rueil Malmaison.

Km 10 à 15 - Bords de Seine
Ces 5km sont agréables. On longe les bords de Seine. Il y a de l'ombre c'est agréable.
Cette partie est pourtant plus difficile car le terrain n'est pas homogène et glisse un peu. Mais je prends plaisir à courir au bord de l'eau. Je cours quelques kilomètres aux côtés d'un autre coureur qui court à mon allure puis...il me lâche (il m'a interpellé à l'arrivée. Il s'agit d'un anglais. Il m'a félicité pour mon allure. Merci !!)

Km 15 à 17,5 - Derniers kilomètres avant la côte qui mène à l'arrivée
Je sais que le ravitaillement du 17,5e km annoncera l'arrivée de la longue côte jusqu'au Château de St-Germain en Laye. J'ai prévu un gel qui me donnera l'énergie suffisante pour terminer à bloc.

Km 17,5 à 20 - 1km de côte
Elle était fameuse cette côte ! Elle était impressionnante ! Elle était difficile, mais je l'ai faite.
Et j'ai encore doublé ! J'ai réussi à conserver une allure correcte tout le long de ce kilomètre. J'ai même réussi à me faire plaisir !
Je l'ai couru sans regarder trop loin devant moi. J'ai fixé le sol et j'ai grimpé jusqu'à ce qu'elle s'arrête enfin ! Jusqu'à ce que le plat annonce les 300 derniers mètres qui mènent au château.

Km 20 - Arrivée Château de St-Germain en Laye
J'ai donné tout ce qui me restait et j'ai terminé en 1h 39m 05s
Ravie ! Je suis ravie !!
Mon classement général : 735e / 3172 participants
Mon classement dans ma catégorie (VF1) : 15e / 1085
Ravie ! Je suis ravie !!

APRES LA COURSE
J'ai retrouvé Emmanuel qui avait terminé bien avant moi :-)
1h 20 ! C'est tout simplement....excellent !!! BRAVO Emmanuel ! Emmanuel est classé 33e au classement général et 26e dans la sa catégorie (sur 1486) !

Je n'ai pas eu la chance de voir Raphaël, il fallait que je retrouve l'équipe de filles avec laquelle j'étais venue. J'espère que tout s'est bien passé pour toi aussi !

BILAN APRES COURSE
J'ai A-DO-Ré !!!
Je suis ravie, heureuse, contente :-)))


Cliquez ici pour laissez un commentaire

25 mai 2011

Ice Trail Tarentaise, le plus haut trail d'Europe !

Si vous rencontrez des difficultés à la lecture et l'ouverture de ce post, merci de cliquer sur ce lien : cap-groupama


Le 17 juillet se déroulera la première édition de l’Ice Trail Tarentaise à val d’Isère, le plus haut trail d’Europe, selon les organisateurs. Dans le cadre de cet événements sont organisées trois courses. La première, l’Ice Trail Tarentaise 65km, L’Altispeed 32km et une rando, 13 km. 

Pour plus détails techniques, lisez la suite.

Deux parcours et paysages radicalement différents

ITT-VAL D’ISERE : Le trail le plus haut d’Europe et sans doute le plus technique du circuit, se déroulant sur terrain accidenté et/ou enneigé à 3000m d’altitude (65km / 4900m D+/-) avec notamment, l’ascension de la Grande Motte (3656m) et de l’Aiguille Pers (3386m). Compte pour le challenge 3XT.


Pour la première édition de l’ITT, pas moins de 500 coureur sont attendus. Ils seront épaulés par une centaine de bénévoles avec le soutien des pisteurs de l’Espace Killy(Tignes, Val d’Isère).

Plus d’infos sur le trail et les inscriptions de la course  :
http://www.icetrailtarentaise.fr

Pour terminer, cette revue, une photo incroyable  de l’équipe chargé ede la sécurité (Tignes) sur le glacier de la Grande Motte et au cœur d’une crevasse du glacier de la GM !


Source : Urun

Cliquez ici pour laissez un commentaire

23 mai 2011

Comment (ré)apprendre à courir ?

Si vous rencontrez des difficultés à la lecture et l'ouverture de ce post, merci de cliquer sur ce lien : cap-groupama


La meilleure façon de reprendre la course à pied, c’est de commencer par de la marche. Quand on ne pratique pas (ou plus) d’activité physique, il faut réhabituer son corps à l’effort.

Savez-vous réellement marcher ? 
Peu de coureurs débutants ou occasionnels se posent malheureusement cette question ! Pourtant, chez le débutant qui désire se mettre à la course à pieds, ce passage par la marche athlétique semble déterminant et incontournable. Alors pourquoi si peu de coureurs osent la marche ? Très certainement par l’image que celle-ci véhicule mais aussi à cause des moqueries certes de moins en moins nombreuses mais encore parfois maladroites. Yohan Diniz, notre champion de marche en a été la première victime, mais sa notoriété et ses résultats remarquables ont fait évoluer les mentalités, alors c’est le moment d’en profiter !

Vous vous demandez certainement : "mais qui ne sait pas marcher" ? A cela, la réponse est très surprenante : 70% de coureurs à pieds, quel que soit leur niveau. Si tous les coureurs, même les meilleurs avaient connu une période d’apprentissage de la marche athlétique, peut être ne souffriraient-ils pas d’un manque de tonus et de sollicitation du haut du corps, c'est-à-dire l’allègement de la foulée grâce au rôle prépondérant des bras.

A vos marques, prêts, marchez !
La marche est une discipline dans laquelle votre corps, et plus précisément votre dos, ne va pas subir d’impacts. C’est important de souligner ceci car le mal de dos (au niveau lombaire le plus souvent) mais aussi les douleurs au niveau des genoux ou encore des hanches le lendemain de vos premières sorties en course à pieds ne sont pas très agréables, et deviennent vite un facteur limitant. Ces douleurs seront donc moindre si vous passez par le stade de la marche.

Ensuite, la marche va vous permettre d’habituer votre cœur à encaisser des montées en régime un peu moins fulgurantes. Il est très rare d’avoir un poing de côté lorsque l’on marche, même de manière soutenue, alors que lors des premiers footings c’est beaucoup plus fréquent.

Autre point important, notamment chez les personnes ayant un objectif de perte de poids, il faut noter et garder à l’esprit que vous dépenserez plus de calories en marchant à 7 ou 8km/h que si vous courez à la même vitesse ! Avec en plus beaucoup moins de contre indications et de répercutions sur votre santé.

90% des muscles du corps sollicités
Il existe une alternative « ludique » pour les personnes ayant encore un peu de mal à s’en convaincre, la marche nordique. Cette activité assez récente de notre pays, mais déjà développée de façon impressionnante dans les pays scandinaves, est l’activité qui vous fera aimer la marche. Celle-ci consiste à marcher avec 2 bâtons afin de solliciter l’ensemble des muscles de votre corps : 90% des muscles du corps humain sont sollicités durant cette activité.

Les bénéfices sont innombrables : augmenter votre taux d’oxygénation (de près de 40%), diminuer vos risques de blessures (poids du corps diminué sur les articulations à risque que sont les genoux et les hanches), augmenter vos dépenses énergétiques… Attention, l’essayer, c’est prendre le risque de ne plus pouvoir s’en passer.

Source : Jogging International

Cliquez ici pour laissez un commentaire

19 mai 2011

Conseils pour une bonne hydratation

Si vous rencontrez des difficultés à la lecture et l'ouverture de ce post, merci de cliquer sur ce lien : cap-groupama



Les mois chauds de l’année doivent inciter les runners à la prudence. Rester correctement hydraté doit demeurer une priorité. Voici quelques moyens sûrs et efficaces de prévenir les coups de chaleur plus ou moins sévères.
img.maxisciences.com

1. Etaler la prise hydrique

Boire souvent et en petites quantités. Dès le réveil, afin d’éliminer les toxines accumulées pendant la nuit, et même si aucune séance d’entraînement n’est prévue dans la journée. Rester hydraté permet d’éviter les coups de pompe en milieu d’après-midi.

2. Boire avant de suer

Intensifier la prise hydrique deux heures avant un entraînement. Particulièrement si la séance prévue est longue (plus d’une heure) et si la température extérieure est chaude.

3. Sodas danger !

Eviter, avant, pendant et après l’effort, d’ingérer des boissons saturées en sucres (type sodas), contenant de la caféine (type coca-cola ou thés chargé en théine). Eviter, évidemment, de boire de l’alcool. Même de la bière.

4. Ne pas abuser des boissons énergétiques

Choisir, si votre estomac le tolère, des boissons énergétiques proposant un apport significatif de sodium et de potassium ainsi que de glucose. Ces boissons sont efficaces car elle restent peu longtemps dans l’intestin et procurent un regain d’énergie quasi instantané.

5. Anticiper

Ne pas attendre d’avoir soif pour boire durant l’effort. Garder à l’esprit que la sensation de soif est déjà un signe de déshydratation.

6. Point trop n’en faut !

Attention de ne pas trop boire. Particulièrement les runneuses féminines très menues. Au moindre signe de ballonnement, d’envie de vomir et de vertiges, cessez de vous hydrater.

7. Le truc imparable

Continuez à boire après l’effort en contrôlant la couleur des urines. La clarté de celles-ci est la preuve d’une bonne hydratation.

Etes-vous déshydraté ?
Voici quelques signes qui permettent de déceler une déshydratation installée.
• Frissons, nausées, baisse ou disparition de la sudation.
• Douleurs musculaires et tendineuses pouvant favoriser les claquages.
• Fatigue, lourdeur des jambes, essoufflement, difficulté à s’exprimer.
• Hausse significative de la température corporelle.
• Elévation du rythme cardiaque et diminution de la tension artérielle.

Source : runners
Cliquez ici pour laissez un commentaire

16 mai 2011

Week-end spécial adhérents Cap Groupama !

Si vous rencontrez des difficultés à la lecture et l'ouverture de ce post, merci de cliquer sur ce lien : cap-groupama

Raphaël  a pu obtenir une très belle participation de notre Comité Inter pour organiser, dans le courant du second semestre 2011, un week-end course pour les membres de l'Association Cap Groupama.

Une très bonne nouvelle qui permettra, aux adhérents qui le souhaitent, de se retrouver un week-end et de courir ensemble un 10km, un semi-marathon ou un marathon.

Pour y participer, rien de plus facile !
Il suffit de transmettre à Raphaël (via lotus), au plus tard le 15 juin 2011, la destination qui vous intéresse.
Le lieu qui aura été choisi par le plus grand nombre d'adhérents sera sélectionné et nous pourrons alors procéder à l'organisation de ce week-end, spécial CAP GROUPAMA !

Je vous rappelle les destinations proposées par Raphaël :

Marathon du Mans
Date : dimanche 23 octobre
Épreuves : Marathon, 3x 14km en relais, 5km

Marathon de Lausanne
Date : dimanche 30 octobre
Épreuves : 10km, semi-marathon, marathon

Marathon d'Athènes
Date : dimanche 13 novembre
Épreuve : 5km, 10km et marathon

Marathon des Alpes-Maritimes Nice-Cannes
Date : dimanche 20 novembre
Épreuve : Marathon

Marathon de Florence
Date : dimanche 27 novembre
Épreuve : Marathon

Cliquez ici pour laissez un commentaire

12 mai 2011

Calculer sa VMA

Si vous rencontrez des difficultés à la lecture et l'ouverture de ce post, merci de cliquer sur ce lien : cap-groupama
La VMA est la vitesse Maximale Aérobie, c’est-à-dire la vitesse maximale qu’un coureur peut tenir sur un laps de temps avant d’inexorablement décliner cette dernière.

Cette VMA est une donnée abstraite mais très importante car elle permet de prévoir selon des règles savantes les performances que l’athlète pourra accomplir en compétition, que ce soit pour un 10 km, un semi, un marathon ou même un 100 km sur route. Le plan d’entrainement pourra être construit en fonction de cette VMA.

La VMA permet de déterminer son allure de course 
Allure de course sur 10km Généralement on constate qu’on peut courir un 10km aux alentours de 90% de sa VMA..
Allure de course sur un semi..un semi à plus ou moins 85% de sa VMA..
Allure de course sur un marathon..et un marathon vers 80% de sa VMA.
En connaissant sa VMA et avec un bon plan d’entrainement le coureur pourra donc travailler son allure spécifique et flirter avec le haut de cette fourchette lors de ses courses.

Déterminer sa VMA
Pour déterminer sa VMA, le coureur pourra effectuer un test compris entre 4 min et 8 min à fond les manettes idéalement sur piste. Attention il s’agit de partir à une vitesse qu’on est capable de tenir sur 4, 6 ou 8 min. Il ne s’agit bien sûr pas de faire le premier 200 mètres extrêmement vite et qu’ensuite ce soit galère pour continuer.
- Un coureur entraîné, habitué au test de VMA, partira sur un test de 8 min
- Un coureur quasi débutant tentera de déterminer sa VMA sur 4 min.

Exemple de mise en pratique
Si on fait 1200 m en 6 min (soit 3 tours de stade d’une piste de 400m), ça fait 12 fois 100 soit 12 km/h.
Ensuite avec 12 km/h, on peut par exemple et en travaillant selon un plan d’entrainement, viser disons 80 % de 12 km/h sur marathon soit 9,6 km/h sur marathon soit 4h23 »
Cela revient à pratiquer le test du « demi-cooper » : autrement dit, après un échauffement très cool de 20 minutes, le coureur va essayer de parcourir la plus grande distance sur 6 minutes. En divisant par 100 la distance obtenue, il obtient sa VMA.
1607 mètres au test => 1607/ 100 = 16,07 soit une VMA = 16,07 km/h

La VMA reste une indication théorique. Si certains entraineurs ne jurent que par la VMA, la Vitesse Maximale Aérobie, d’autres ne raisonnent qu’avec la FCM, la Fréquence Cardiaque Maximale.
Cliquez ici pour laissez un commentaire

9 mai 2011

Rosie Ruiz ou l'improbable exploit !

Si vous rencontrez des difficultés à la lecture et l'ouverture de ce post, merci de cliquer sur ce lien : cap-groupama

C’est un illustre exploit, un véritable triomphe qui est réservé à Rosie Ruiz en ce 21 avril 1980.
Cette Américaine, d’origine Cubaine, vient de remporter le marathon de Boston en 2 heures 31 min et 56 sec, soit la troisième meilleure performance de tous les temps, écartant au passage tous les favoris de la course. Un record d’autant plus remarquable si l’on se penche d’un peu plus près sur le palmarès de cette jeune femme, absolument vierge de toutes références.
Les journalistes se pressent donc à l’arrivée pour recueillir les impressions de cette nouvelle championne. Rosie Ruiz accepte de répondre à toutes les sollicitations surtout celles de la télévision.
On découvre alors une petite femme aux cheveux trempés, vêtue d’une tenue originale et qui a surtout bien dû mal à s’exprimer. Propos incohérents, termes techniques mal prononcés et une explication pour le moins incongrue de son incroyable performance. Rosie Ruiz explique qu’elle s’est tout simplement levée ce matin avec beaucoup d’énergie. Le doute commence à s’installer et ce n’est qu’un début…
L’histoire de Rosie Ruiz démarre en réalité quelques mois plus tôt lors du Marathon de New York. Terminant la course en 2 heures 56 min et 29 secs, elle décroche du même coup une qualification automatique pour le marathon de Boston. 
6 mois plus tard donc, Rosie Ruiz pulvérise le record du marathon et améliore au passage son précédent temps de 25 minutes. Les doutes sont donc permis et la victoire de Ruiz s’obscurcit dès les premiers témoignages de ses adversaires. Jacqueline Garreau et Patti Lyons, respectivement deuxième et troisième, déclarent avoir été toutes les deux en tête après avoir parcouru 30 kilomètres et qu’il est impossible de ne pas avoir vu avant, une concurrente les dépasser. Les télévisions présentes viennent corroborer les deux témoignages. Hormis la dernière ligne droite, il n’existe aucune image où apparaît Rosie Ruiz et aucun des commissaires de course présent à différents points stratégiques de la course ne se souviennent avoir vu cette femme.

Ce sont finalement deux étudiants d’Harvard, John Faulkner et Sola Maloney qui vont définitivement  clore l’affaire en déclarant avoir vu Rosie Ruiz enjamber les barrières de sécurité au niveau de Commonwealth Avenue soit à moins d’un kilomètre de l’arrivée.

Quelques jours après la course, Rosie Ruiz est officiellement déclassée du Marathon de Boston. Jacqueline Garreau reprend quant à elle, sa première place.

Au cours de l’enquête, il sera également prouvé que Rosie Ruiz avait en fait séjourné dans un hôtel à proximité de la ligne d’arrivée et des témoins confirmeront l’avoir vu se jeter de l’eau sur la tête pour faire croire qu’elle avait transpiré. Plus étonnant encore, elle a été également vue le jour du marathon de New York dans le métro cette fois. Il sera là encore établi qu’elle avait cette fois bien pris le départ mais s’était faufilé après quelques mètres pour prendre le métro et reprendre la course à quelques mètres de l’arrivée.

Depuis cet incident, Boston s’est muni d’un système de vidéo surveillance et d’un ordinateur capable de vérifier qu’un coureur est bien passé dans les différents « check point » que comporte le parcours. Pour la petite histoire, Rosie Ruiz a toujours refusé d’admettre qu’elle avait triché. En 1982, elle est jugée dans une affaire de fraude concernant son ex employeur et est accusé quelques mois plus tard, de trafic de cocaïne. Elle aurait depuis changé de nom…
Source : Urun
Cliquez ici pour laissez un commentaire

6 mai 2011

Les Kenyans : les rois de la course !

Si vous rencontrez des difficultés à la lecture et l'ouverture de ce post, merci de cliquer sur ce lien : cap-groupama


Marathon de Rotterdam
Paris, Londres, Boston… tous sont tombés cette année encore dans l’escarcelle des Kényans. La mainmise de ce petit pays d’Afrique est impressionnante dès lors qu’on se penche sur les compétitions mondiales des courses de fond. Pas une, n’a échappé cette année à un Kényan et il s’en est même fallu de peu pour que le record du monde du Marathon de l’Ethiopien Gebressellassie ne tombe pas entre leurs mains. (Record battu à Boston par Geoffrey Mutai mais non validé par la Fédération Internationale d’athlétisme. Voir article). Pas de miracle non plus à Maroilles samedi, où se tenait une course de 20 km sur route. Classée par la Fédération Française d’Athlétisme comme une compétition internationale, le vainqueur ne pouvait donc être qu’un Kényan. Elyjah Tarus a bouclé les 20 km en 1h 03 min 23 sec, devançant de quelques minutes sa compatriote, Gladys Chepchirchir, qui a  terminé en 1h 11 min 34 sec. Incontestablement le Kenya règne en maitre sur les distances de course dès lors qu’on dépasse le demi-fond. Comment s’explique alors une telle domination ?

Le Kenya devance l’Ethiopie
Stars de la course, Haile Gebreselassie et Kenenisa Bekele sont inquiets et pour cause, ces multi médaillés des jeux Olympiques ont de plus en plus de difficultés à conserver leurs biens.

Autrefois souverain,  l’Ethiopie a vu ces dernières années d’un peu trop près son voisin Kényan sur les podiums des grandes compétitions internationales.

Si le Kenya n’est bien évidemment pas un inconnu de ces grand rendez-vous, la recrudescence de nouveaux athlètes tend à confirmer que le pays s’est progressivement mué en centre de formation de jeunes surdoués de la course. La quantité au détriment de la qualité semble être le mot d’ordre si on en juge par le nombre d’athlètes Kényans présent lors des grands meetings internationales.

Troisième pays, en nombre de médailles lors des championnat du Monde d’athlétisme à Berlin en 2009, le Kenya dispose régulièrement lors des finales de fond ou de demi-fond, de trois voire quatre prétendants à la victoire finale. Ce fut notamment le cas lors du 3000 m steeple homme ou le Kenya parvient à placer trois coureurs dans les quatre premiers, le Français Bouabdellah Tahri accrochant la troisième place.

Une question d’altitude
Hormis une frontière commune, Le Kenya et l’Ethiopie ont un autre point commun : l’altitude.

Terrain d’entrainement propice, le Kenya a une altitude moyenne de 1850 mètres contre environ 2000 mètres pour son voisin. Courir dans ces conditions permet à l’athlète d’améliorer considérablement sa consommation d’oxygène. Il en va de même pour la prise d’appui, le travail au niveau des chevilles… le terrain instable permet de renforcer le travail musculaire dans la recherche d’un parfait équilibre, ce que confirmait par ailleurs en avril 2009  Véronique Billat,  directrice du laboratoire d’études de la physiologie de l’exercice de l’INSERM dans l’Equipe Magazine : « leurs entraînementssont parfaitement adaptés à la course à pied de compétition parce qu’ils ont lieu sur des terrains accidentés, souvent en côte, qui forgent aux coureurs de petits mollets ». 

A noter que cette allusion aux mollets provient d’une étude menée par un scientifique Danois, Bengt Saltin, qui a démontré que la supériorité des Kényans dans la course s’expliquait en parti par des mollets plus fins que la normal ce qui implique une foulée plus rapide.

La course : une culture
C’est certainement l’une des raisons les plus simples mais aussi l’une des plus crédibles. La course fait en effet partie de la culture du Kenya, de l’Ethiopie… Il suffit de prendre exemple sur les enfants qui sont souvent obligés de rallier de grandes distances en courant pour accomplir le trajet qui les séparent de l’école.

L’autre raison avancée est la rivalité qu’il existe entre les différentes tribus. S’ils courent pour le même pays, il n’est néanmoins pas rare de voir s’affirmer une grande rivalité entre deux coureurs issus d’une même tribu, ce fut notamment le cas des éthiopiennes Fatuma Roba et Deratu Tulu dans les années 90.

Source : Urun

Cliquez ici pour laissez un commentaire

4 mai 2011

J'ai testé le CamelBak

Si vous rencontrez des difficultés à la lecture et l'ouverture de ce post, merci de cliquer sur ce lien : cap-groupama

En vue de me préparer à courir les 20km de la course Paris-St Germain en Laye à laquelle je participe le 29 mai prochain, je me suis achetée un CamelBak.

Le CamelBak est ce fameux sac à dos que portent de plus en plus de coureurs (principalement sur des trails) pour s'auto-hydrater pendant les courses et éviter ainsi les ravitaillements parfois très (trop !) encombrés.

La course, Paris St-Germain-en-Laye, a la particularité, cette année, de ne pas distribuer de bouteilles ou verres d'eau sur les points de ravitaillements. Des fontaines à eau seront mises à disposition des coureurs pour leur permettre de remplir leur bidon. Je dois donc m'équiper en conséquence.

2 possibilités s'offrent à moi : courir avec un CamelBak sur le dos ou courir avec une ceinture porte-bidons autour de la taille.

J'ai voulu tenter l'expérience CamelBak car j'ai la sensation de ne pas pouvoir supporter une ceinture porte-bidons autour de la taille. Je me suis donc équipée, la semaine dernière, d'un CamelBak très léger (Nathan HPL008). Je sais que les avis sont très partagés sur cet équipement, aussi j'ai pris la décision de tester la seconde possibilité si je m'aperçois que ce choix ne m'est pas adapté.

A la suite du 10km Planet Jogging de dimanche matin, je suis allée courir mardi soir ma séance de récupération.
J'ai parcouru 9,6 km en 57 minutes avec dans mon CamelBak 750ml d'eau.

Je n'ai bu que quelques gorgées de ce que je portais. Le but étant de voir si je pouvais supporter cette charge sur plusieurs kilomètres. Ce que j'ai parfaitement supporté !

Bien entendu, je n'ai pas couru à la vitesse de mon 20km.
De plus, la météo était idéale mardi soir, si bien que je n'ai pas ressenti le besoin  ni l'envie de m'hydrater au-delà de ce qui m'était nécessaire.

Je pourrais donc davantage vérifier les bienfaits du CamelBak lors de séances que je travaillerais en côtes ou lors de séances de fractionnés.

J'ai pu toutefois constater que :

- l'eau ne bouge pas dans le sac lorsque je cours : je ne ressens donc aucune gène
- le CamelBak est très bien fixé sur mon dos : je ressens donc à peine la charge supplémentaire

Je dois par contre vérifier la mise en place du tuyau qui, aux 1ers kilomètres, m'a légèrement dérangé au niveau du cou. Je pense que je ne l'avais pas correctement installé.

J'attends donc mes prochaines séances d'entraînement, notamment celles que j'effectuerai en côtes et celles qui me permettront de travailler ma vitesse, pour m'assurer que cet équipement me conviendra le 29 mai. Il faudra également que je le teste un jour de grande chaleur : il pourrait faire chaud le 29 mai !

Cliquez ici pour laissez un commentaire

1 mai 2011

01-05-2011 10km Planet Jogging

Si vous rencontrez des difficultés à la lecture et l'ouverture de ce post, merci de cliquer sur ce lien : cap-groupama

10km Planet Jogging selon Sandrine


Nous étions nombreux de l'Association à s'être retrouvés dimanche 1er mai dans le Bois de Boulogne pour la 4e édition du 10km Planet Jogging :

Les filles : Sophie, Pascale, Pierrette et Sandrine
Les garçons : Dominique, Olivier R, Matthieu et Hubert

Il a fait chaud ce matin dans le Bois de Boulogne !
Je comptais sur la météo de ces derniers jours pour profiter d'une course un peu plus fraîche qu'à Nice. C'était raté !

Le départ a été lancé à 10h00.
3000 coureurs, ça fait un paquet de monde !
Je n'ai pourtant pas été gênée pour me faufiler. J'ai ainsi pu rapidement trouver et conserver mon allure de croisière.

Courir avec cette chaleur, c'est vraiment difficile. Heureusement, il y avait pas mal de parties ombragées grâce au parcours tracé uniquement dans les allées du bois.

L'organisation de cette course est sans faille. Pas d'attente à la consigne, pas de bousculade au ravitaillement, un parcours bien tracé et -oh grand plaisir !- des supporters tout le long des 10km pour nous soutenir et nous encourager !!

Un point négatif : quelques passages trop étroits par moments sur le parcours, notamment le 1er virage qui obligeait les coureurs à marquer un arrêt net, sinon carambolage garanti !

Pas de podium pour l'Association, mais de très bons chronos pour chacun d'entre nous :  de 38'35 (Bravo Matthieu !) à 59'04.

Cliquez ici pour laissez un commentaire

Rechercher dans ce blog

 

Association CAP GROUPAMA

Cap Groupama Copyright © 2009 Shopping Bag is Designed by Ipietoon Sponsored by Online Business Journal