28 juin 2012

Week-end du 30 juin et 1er juillet : qui court où ?

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Dernier week-end avant les grands départs en vacances !
Ce week-end sera donc la dernière occasion de tenter une performance avant de profiter d'une belle pause bien méritée !

Samedi et dimanche, nous retrouverons donc :


Le samedi 30 juin
Nathalie devait être sur le parcours du Trail du Muguet en version semi. 21,100 km sur chemins et sentiers des forêts de Chaville et Meudon.
Un gros lumbago l'oblige malheureusement à garder le repos quelques jours, voire semaines...

Bon courage Nathalie :)


Le dimanche 1er juillet
Monique, Sandrine, Sophie, Emmanuelle et Philippe courront dans le Parc du Château de Versailles. Lieu magique et magnifique pour cette 1ère édition de la Go Sport Running Tour du Château de Versailles. Plusieurs distances possibles.

Sophie, Emmanuelle et Philippe prendront le départ des 15km de la Course Royale.
Sandrineet Monique, celui de le Course des Princesses (8km réservés aux femmes)

Marc, lui, sera au départ des 10km France des Iles. 2 boucles de 5km courues, en sous-bois, dans le Bois de Vincennes.

Quant à Baptiste, il prend la route pour rejoindre Villars de Lans. Il sera dimanche au départ de la course du Pont de l'Amour, un trail de 13 km avec 500D+ et 500D- !

Bonne course à tous !
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27 juin 2012

Les dangers des "Energy Drink"

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Petit conseil aux coureurs, surtout pour les jeunes : ne confondez pas boissons énergisantes et boissons énergétiques !

Malgré la pub, les boissons énergisantes ne doivent pas être consommées avant, pendant, ni après un effort physique.

Deux raisons expliquent cette recommandation :

D'une part, leur composition en sucre, minéraux, vitamines, et autres substances, n'est pas adaptée aux besoins de l'organisme dans ces situations d'effort.
D'autre part, cette consommation expose à des risques potentiels sur la santé (mauvaise hydratation, fuite minérale, troubles du rythme, effets cardiovasculaires...).


Les boissons énergisantes ne sont donc pas adaptées à l'effort sportif.

Les recommandations du fabriquant qui préconise de mélanger une canette de boisson énergisante avec de l'eau lors d'un effort physique, n'apparaissent pas suffisantes ni pour hydrater correctement les sportifs, ni pour diminuer les effets secondaires et la toxicité potentielle de certains composants. La consommation de boissons énergisantes expose aux blessures sportives par deux mécanismes principaux :

- Le pH des boissons énergisantes est très acide, de l'ordre de 3 à 4 (la neutralité du pH étant fixée à 7). L'effort lui-même produit de l'acidité, qu'il va falloir s'efforcer d'éliminer en récupération, par la pratique d'étirements, et une alimentation de récupération adaptée comprenant notamment de l'eau minéralisée bicarbonatée, des fruits ou jus de fruits frais.

Une boisson acide avant, pendant ou après un effort n'a donc aucun sens, puisqu'elle risque d'accentuer l'acidité de l'organisme produit naturellement à l'effort, et par conséquent nuire à l'effort et aux capacités de récupération.

- Les boissons énergisantes contiennent des substances diurétiques, telles que la caféine. Cette substance favorise la fuite d'eau par les urines, ce qui est contraire à l'obligation de bien hydrater son corps pour qu'il s'adapte correctement à l'effort. Boire de l'eau est un impératif aux 3 temps de l'effort, pour compenser les pertes (transpiration en particulier) et restaurer le stock d'eau en récupération. Toute substance (telles que les substances diurétiques) qui présente l'effet inverse expose à la déshydratation !


La déshydratation de l'organisme à l'effort est une des principales causes de blessures sportives, de fatigue et fatigabilité à l'effort, d'inadaptation à l'effort, de contre-performance. La caféine contenue dans ces boissons augmente l'élimination urinaire de calcium, magnésium, chlore, sodium, de façon d'autant plus importante que la caféine est présente à un taux élevé. Cette fuite minérale peut aggraver les désordres électrolytiques pendant l'effort, favoriser les blessures, et nuire aux capacités de récupération.

Dépourvues de sodium, les boissons énergisantes peuvent induire une hyponatrémie lors des efforts prolongés en ambiance climatique chaude. Cette hyponatrémie se manifeste par des troubles cardiovasculaires, des troubles neurologiques allant de l'altération de vigilance et d'attention, et pourrait aller jusqu'au coma en absence de diagnostic. D'autres risques non évalués pour l'instant concernent les effets secondaires et la toxicité évoqués chez l'homme de certains composants présents à taux élevés (Vitamines B, Caféine, Taurine, Glucuronolactone) apparaissent de façon autant plus importante à l'effort, que la déshydratation relative augmente les concentrations circulantes, et renforcent la toxicité lors de l'exercice. Ces effets toxiques justifient des études cliniques complémentaires.

Certains coureurs sont tentés de consommer des boissons énergisantes pour avoir la pêche. Pour certains aussi, cette consommation peut être motivée par un souhait de prolonger l'état de veille et travailler tard dans la nuit, ou pour stimuler les capacités de mémorisation en vue d'un examen. Dans tous les cas, c'est un leurre ! Les boissons énergisantes n'améliorent pas les performances mnésiques ou intellectuelles. En effet, si ces boissons sont réellement excitantes, il ne faut pas confondre l'excitation qu'elles procurent, avec les performances intellectuelles. L'excitation n'est pas synonyme de performance psychique. Bien au contraire, la mémorisation, la concentration, demandent une sérénité, une tranquillité d'esprit, un calme, et certainement pas une excitation parasite.

L'excitation nerveuse ou cérébrale induite par les boissons énergisantes peut au contraire engendrer une angoisse, augmenter le stress déjà important à l'approche de l'examen, et peut ainsi déstabiliser l'individu. Une étude de consommation relate ces effets et 30% des consommateurs évoquent une agitation, un énervement suite à leur consommation. L'augmentation de la fréquence cardiaque est également le reflet de cette excitation nerveuse. Ces effets seront donc délétères sur le plan des performances intellectuelles comme également dans les disciplines sportives dominées par la concentration psychique et l'attention.

Quelques adaptations alimentaires simples permettent d'améliorer les capacités ou limiter la fatigue :

L'hydratation est indispensable. Gardez des repas équilibrés pour assurer un confort digestif et de bons apports en vitamines et minéraux. Travaillez avec la bouteille d'eau sur le bureau, et buvez au moins 1,5 l/jour. Buvez un verre de jus d'orange pressé le matin, ou un fruit frais.

S'il fait chaud : un citron pressé dans l'eau de boisson rendra la boisson plus rafraîchissante et concoure à enrichir les apports en vitamine C.

Evitez les grignotages en cas de faim entre les repas. Pensez plutôt aux fruits frais pour vous caler.

Détendez-vous ! Faire une activité physique régulière permet de « s'aérer la tête », sortir du stress professionnel et vous rendra plus performant.

Respectez les cycles de sommeil ! Le sommeil est à la fois récupérateur sur la fatigue, mais il a un effet bénéfique sur la mémorisation.

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Dans un communiqué de presse du 8 juin dernier l'AFDN, association française des diététiciens nutritionnistes recommande la prudence.

Suite aux deux nouveaux décès par crise cardiaque en lien avec des boissons énergisantes qui viennent d'être signalés aux autorités sanitaires, l'Association Française des Diététiciens Nutritionnistes s'inquiète des effets indésirables de ce type de produit et recommande la prudence quant à leur consommation, dans l'attente de recommandations officielles.

Principalement consommées par les moins de 35 ans, les boissons énergisantes, bourrées de substances excitantes, sont présentées comme des stimulants de l'effort physique ou intellectuel. Or, ces boissons supposées "mobiliser l'énergie" sont en réalité des excitants du système nerveux. Pour ce faire, elles contiennent le plus souvent des ingrédients "stimulants" comme la taurine, la caféine, le ginseng et certaines vitamines à haute dose.

Depuis leur mise sur le marché français en 2008, une surveillance de ces boissons a été mise en place et a permis de recenser, parmi 24 cas rapportés, treize cas pour lesquels un lien de causalité s'avérait possible ou probable. Des cas d'effets indésirables, qui pour la plupart, ont été identifiés lors de la consommation de ces boissons en association avec de l'alcool.

Les effets rapportés sont d'ordre cardiaque (trouble du rythme : tachycardie), neurologique (crises d'épilepsie, tremblements, vertiges...) et psychiatrique (angoisses, agitation, confusion).

L'AFDN est donc particulièrement préoccupée par la toxicité potentielle de ce type de boissons, et leur usage excessif et inadapté, notamment chez les jeunes.
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21 juin 2012

Week-end du 23 et 24 juin 2012 : Qui court où ?

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Fera t-il beau ? Pleuvra t-il ?
Serons-nous en été ? Encore en automne ?
La météo nous réserve bien des surprises ces temps-ci !

Quoi qu'il arrive, les courses s'organisent, se courent et se vivent !

Ce week-end : 2 rendez-vous pour l'Association Cap Groupama.

Course de 10km organisée dans les rues de Paris. Départ et arrivée Bastille. Le parcours emmène les participants sur les boulevards de l’Est parisien : le peloton remonte le boulevard Beaumarchais, à proximité de la Place de la Bastille, jusqu’à République, avant d’emprunter le faux plat montant de l’avenue de la République jusqu’au Père-Lachaise. Au retour, les coureurs se dirigent vers la Place de la Nation et la Place Félix Éboué pour passer la ligne d’arrivée Avenue Daumesnil.

De nombreux coureurs sont attendus au départ de cette course, dont Florence, Théo et Emmanuel !

Bonne course à tous les 3 !



Organisé à Montsoult, dans le Val d'Oise, le semi-marathon de la Croix Verte sera le 21,100 km de Nathalie !

Tout ira bien Nathalie, j'en suis certaine :)) Bonne course !







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20 juin 2012

Le retour au calme : une étape importante !

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Source : U-run
On appelle « retour au calme » le footing qui suit une séance, une course, ou tout simplement le prolongement d’une sortie qui ne doit pas se terminer « brutalement ».

Bien souvent, on rechigne à le faire, considérant qu’on a assez donné. Et pourtant, il a une vraie utilité dans la plupart des cas ! Il ne doit pas être bâclé, que ce soit en le courant trop vite, ou trop lentement.

Pourquoi un retour au calme ?

A la fin d’une séance ou d’une course, votre organisme vient de tourner à plein régime.

Le retour au calme va permettre de faire revenir progressivement vos fonctions vers l’état de repos. Les pulsations cardiaques et le débit ventilatoire vont ainsi reprendre une valeur « normale » (bien qu’à la fin du footing vous ne l’aurez pas tout à fait atteinte). Il faut éviter les arrêts brutaux ! Même si à la fin d’une séance de piste vous avez envie de mettre les mains sur les genoux, marchez tout de même, faites quelques pas.

Il va aussi permettre d’évacuer l’acide lactique qui s’est accumulé dans les tissus musculaires. Vous évitez ainsi de garder des douleurs qui peuvent être gênantes si le lendemain vous rechaussez les baskets. Même si vous n’avez pas été « à fond », dites vous que dès le début d’un effort, de l’acide lactique est produit par l’organisme. A des allures faibles, il est évacué, mais à 80%, il peut déjà faire de petits dégâts. Si vous êtes demi-fondeur et que vous faites donc des efforts à 100/110%, le footing de récup’ est primordial !

Il peut permettre de faire des kilomètres sans accroître l’état de fatigue. Mis bout à bout, les 10 ou 15 minutes de footing répétés à la fin des séances vous permettent de faire des kilomètres sans vous en rendre compte, et vous pouvez terminer votre semaine avec par exemple 10km en plus sans avoir ajouté une sortie supplémentaire.

Comment le faire pour qu’il soit efficace ?

Ni trop vite, ni trop lentement. La réponse paraît évidente. Cependant s’il est négligé, il n’aura servi à rien !

Un retour au calme doit compter minimum 5 min pour faire cette transition vers le repos, jusqu’à 20 ou 25 min si vous êtes dans une optique de rajouter du kilométrage en douceur.

De façon globale, il est de 10 min.

C’est en général un footing. Dans le cas d’une séance très intense, vous pouvez le remplacer par de la marche, ou pourquoi pas quelques coups de pédales si vous êtes cyclistes. On peut voir des coureurs faire une petite sortie vélo l’après-midi d’une course. Attention à ne pas appuyer et préférez un braquet qui vous permet de faire « tourner » les jambes. Il ne faut pas rajouter de la fatigue en contractant les groupes musculaires de façon trop importante…

Pour l’intensité, il faut être environ à 60% de votre Vma ou de vos pulsations cardiaques. Pour vous donner une fourchette, c’est entre 120 et 140 pulsations. En allant trop vite, vous pouvez continuer à produire des déchets dans l’organisme ou encore les empêcher de s’évacuer.

On dit souvent de récupérer très lentement. Ce n’est pas tout à fait judicieux car à une allure de footing lente, vos foulées sont très courtes et les groupes musculaires de vos jambes ne sont quasiment pas sollicités et se retrouvent en contractions isométriques (c’est à dire quand la longueur du muscle ne change pas pendant la contraction). Pour évacuer les déchets en permettant au sang de circuler, il vous faut donc une contraction musculaire, produite à une certaine allure, qui permettra au muscle de « pomper » le sang et de bien faire circuler l’oxygène.

Enfin, comme il est souvent vécu comme une contrainte, rapprochez vous d’un partenaire pour le faire ensemble, évacuer, échanger vos sensations… En discutant (sans être essoufflé!), vous serez normalement dans la bonne allure !



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19 juin 2012

Où courir un marathon cet automne ?

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Source : Runners
 
Difficile désormais de faire son marché dans une offre de marathons internationaux de plus en plus pléthorique. Au-delà des classiques de l’automne (Berlin ou New York), runners.fr est parti à la recherche de pépites moins connues. Voici le résultat de notre enquête.

10 septembre

Un must pour les runners épris d’altitude ! Le marathon helvétique – dont les organisateurs disent modestement qu’il est le plus beau du monde – a ouvert la voie à la plupart des épreuves alpestres aujourd’hui inscrites au calendrier. Il est indispensable de s’inscrire plusieurs mois à l’avance pour avoir le privilège de parcourir les 42,195km au cœur des montagnes suisses. 3 500 dossards sont attribués chaque année.

Etats-Unis> Portland Marathon
Loin, très loin de l’Hexagone, Portland, Oregon, accueille depuis 40 ans un marathon qui reste la référence des 42,195km urbains de l’Ouest des Etats-Unis. Très attaché à son étiquette ‘écolo’, Portland propose un parcours plat, un climat humide mais plutôt frais et la beauté d’une région peu souvent visitée par les runners européens.

18 septembre

Australie > Sydney Marathon
Difficile d’envisager cette course des antipodes sur un simple coup de tête ! La distance à parcourir entre la France et l’Australie est une barrière pratiquement infranchissable. Et c’est dommage ! Le parcours, qui empreinte notamment le Sydney Harbour Bridge, se conclut tout près du célèbre opéra de la ville.

25 septembre

Le site de l’épreuve rappelle (et cela nous fait plaisir) que Montreal est la deuxième ville francophone en importance de la planète après Paris ! C’est déjà une raison suffisante pour s’offrir le voyage. Peut-être peut-on même rêver d’un voyage qui engloberait les Marathons du Québec et de Montreal. Entre les deux, quatre semaines de récupération pour découvrir le Grand Nord ou descendre quelques jours à New York…

Allemagne > Marathon de Berlin
Peut-on décliner une carrière aboutie de marathonien amateur sans courir un jour sur le bitume berlinois ? Douteux ! Membre du World Marathon Majors, l’épreuve de la capitale allemande n’a que des qualités : un parcours plat comme un billard, une ferveur populaire à l’américaine et une organisation à l’allemande. Indispensable de réserver son dossard dès le printemps.

02 octobre

Moins connu que son homologue de Prague, le Marathon de Budapest propose une majestueuse ballade le long du Danube ainsi qu’une visite des deux villes Buda et Pest. Le parcours est plat. 2011 marque la 26è édition. 13 000 runners sont attendus.

Facile d’organiser une participation à ce marathon voisin. Les inscriptions tardives sont admises jusqu’à la veille du départ. Parcours plat, moules – frites après l’arrivée : une bonne manière d’entrer dans l’automne.

09 octobre

Etats-Unis > Chicago Marathon
Moins connu que New York ou Boston, le Marathon de Chicago est pourtant le marathon américain le plus roulant. Seul bémol à poser à cette course remarquablement organisée : les conditions climatiques sont très aléatoires – parfois caniculaires, parfois carrément polaires. Les runners qui veulent boucler le World Marathon Majors doivent courir au moins une fois dans la Windy City !

16 octobre

Hollande > Amsterdam Marathon
Le départ est donné dans l’enceinte prestigieuse du Stade Olympique. Ensuite, les runners baguenaudent au gré de l’Amstel River. Peu de spectateurs sur le bord du parcours (par rapport à Berlin) mais une ambiance joyeuse et détendue en marge de la course. Idéal pour un week-end culturel en amoureux.

33 ans déjà que la métropole turque organise le seul marathon au monde à se courir sur deux continents. Baptisé Eurasia, le Marathon d’Istanbul est l’occasion de découvrir une manière moins industrielle d’organiser des épreuves de masse.

23 octobre

Les 7000 runners qui seront au départ auront le privilège de conclure leur effort au cœur de la cité marine. Ils auront aussi participé à de nombreuses œuvres sociales mises en exergue par les organisateurs du marathon vénitien. Ceux-ci se sont en effet lancés dans un programme d’aide aux populations ougandaises en construisant de nombreux puits. Attention, l’édition 2011 est complète.

Dessiné entre le lac et les coteaux verdoyants, le Marathon de Lausanne est d’abord l’occasion (un peu comme son homologue d’Annecy) d’une bucolique promenade dans l’un des lieux les plus privilégiés d’Europe. Le parcours est plat et l’ambiance vraiment sympathique : une étape obligée dans une carrière de marathonien.

30 octobre

Une nouvelle épreuve (à ne pas confondre avec le marathon 100% féminin organisé à Osaka au mois de janvier). ‘Ensemble, créons un arc-en-ciel’, est le slogan de cette course qui aspire à prendre une place dans le cœur des très nombreux marathoniens nippons – au même titre que Tokyo.

Etats-Unis > Marine Corps Marathon
Couru une semaine seulement avant New York, le Marine Corps Marathon est le quatrième plus important marathon américain. Créé en 1976, il est dessiné entre Arlington et Washington et rend hommage aux forces armées américaines. C’est le plus grand 42,195km de la planète à n’offrir aucun prix aux vainqueurs. Sa popularité a sensiblement augmenté lors des dernières années au point d’en faire un rival à New York…

31 octobre

Une réputation très flatteuse colle aux basques de ce marathon : on dit qu’il est le plus convivial de la planète ! L’un des plus difficiles aussi. Le parcours est particulièrement cassant. Malgré cela, Dublin fait chaque année le plein. A envisager plutôt que de passer un week-end de la Toussaint cafardeux à la maison…

04 novembre

Etats-Unis > Marathon de New York
Faut-il rabâcher ce que chacun sait ? Sans doute pas. New York coûte cher (le dossard le plus onéreux du calendrier). New York est complet des mois à l’avance (même les voyagistes français se battent pour obtenir plus de dossards). New York est totalement indispensable. Etre un runner capable de courir 42,195km et ne pas courir New York est pire qu’un crime : une faute !

16 novembre

Courir sur les traces de Phidippidès inspire de nombreux runners français. Pour répondre à leur attente et organiser le voyage aux origines du marathon, les voyagistes proposent désormais des forfaits. Mais il reste possible d’entreprendre l’aventure en solo…

27 novembre

Plus que Rome, Milan et même Venise, Florence s’est imposé comme le marathon le plus important du calendrier italien. La beauté de la cité toscane explique évidemment qu’un peloton supérieur à 10 000 runners prenne chaque année le départ. Le parcours visite les joyaux d’une ville musée. Parfait pour joindre l’utile (faire plaisir à sa moitié) à l’agréable (courir un marathon) !

04 décembre

Astucieusement positionné en toute fin de saison, le Marathon de Lisbonne ne permettra certes à aucun runner de battre son record sur la distance : les derniers kilomètres sont en effet difficiles. Mais la capitale portugaise a d’autres atouts qu’un simple raidillon. Courir à Lisbonne est une manière très romantique d’en finir avec la saison avant la coupure hivernale.

Etats-Unis > Las Vegas Marathon
Le départ est donné à Mandalay Bay à 16h. Arrivée à la nuit tombée sous les néons du Strip ! Las Vegas joue ses cartes dans la démesure. On n’est pas obligé d’adorer le lieu. Mais une visite s’impose. A noter que ce marathon fait partie du Rock’n’Roll Marathon Series, contrôlé par le très puissant Competitor Group – qui attaque depuis peu le ‘marché’ européen.
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15 juin 2012

6 bonnes raisons de courir pour ne pas faire son âge

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Source : Jogging International


Pratiquée régulièrement et sans excès, la course à pied soigne au quotidien notre mental. Sans compter ses effets préventifs sur la maladie.
Voici les bénéfices santé majeurs de ce remède "cure de jouvence" en vente libre...et très très bon marché !

1- Je suis de meilleure humeur
La pratique régulière de la course à pied améliore notre humeur. Au-delà de 30 minutes de course à 70% de sa fréquence cardiaque maximale, notre corps produit en effet des hormones, les endorphines et la sérotonine.
Les endorphines, dérivés naturels de la morphine, provoquent des effets euphorisants, de lutte contre l'anxiété et contre la douleur.
La sérotonine est impliquée dans la régulation du sommeil, de l'anxiété et de la douleur.
Ainsi, courir permet de lutter contre l'insomnie de façon naturelle  et réduit les manifestations extérieures de dépression modérée et d'anxiété.

2- J'ai des os plus solides
Nos os sont le siège permanent d'un processus de renforcement ou de perte des cellules qui les constituent. Si nous sommes assis devant la télé ou l'ordinateur toute la journée, nos os se fragilisent. A contrario, la pratique de la course à pied augmente les contraintes sur notre squelette et cette stimulation permet d'augmenter la densité osseuse de l'ordre de 30% à 40%. Courir renforce donc les os du bas du corps et permet notamment aux femmes de luter contre l'ostéoporose.

3- Je suis moins malade
L'entraînement régulier modéré a des effets bénéfiques sur l'immunité. Il stimule les cellules qui vous protègent contre les infections (lymphocytes et polynucléaires). En revanche, réalisé à trop haute intensité, il peut vous fragiliser. Ainsi, les sportifs de haut niveau sont plus sensibles aux infections respiratoires durant des préparations intensives.

4- Je diminue les risques de cancer
Il a été prouvé que courir durant au moins 30 minutes cinq jours par semaine diminue le risque de développer certains types de cancers. Selon plusieurs études, les femmes pratiquant la course à pied ont presque 2 fois moins de risque de développer un cancer du sein que les sédentaires. Le risque de cancer du colon est également diminué.

5- Je fais baisser ma tension, mon diabète et mon cholestérol
La pratique régulière de la course à pied fait baisser votre tension de façon significative. Vous réduisez ainsi les risques d'accident vasculaire cérébral et d'infarctus. Mais attention, c'est comme un médicament, si vous arrêter de courir, vous n'êtes pus protégé.
La course à pied permet une meilleure régulation de la production et de l'utilisation de l'insuline sur l'organisme. Courir est donc efficace pour réduire le risque de diabète et permet aux diabétiques de mieux réguler leur sucre. De nombreuses études ont également montré l'efficacité de l'entraînement sur le cholestérol comparable à l'effet de certains médicaments. Avec la course à pied, vous augmentez surtout votre bon cholestérol (HDL), celui qui protège vos artères, de l'ordre de 10%.
Toutes ces améliorations commenceront à être sensibles à partir de 3 à 6 semaines de pratique.

6- Je perds du poids
La course à pied brûle plus de calories par minute que tout autre exercice cardiovasculaire. Associée à un régime alimentaire équilibré, l'endurance vous aidera à perdre du poids plus facilement et à stabiliser ce poids à long terme. En plus de bénéfices santé indéniables, une perte de poids améliore souvent la perception de sa propre image et celle que l'on renvoie aux autres.
Bon pour le moral !



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13 juin 2012

09-06-2012 Nathalie a couru les Foulées des Peintres

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Encore une course d'après-midi : cette fois-ci le départ est pour 15 heures. Levée tard pour être bien reposée et ne faire qu'un seul repas.

Heureusement le temps n'est pas trop chaud, juste un peu de vent. Je connais le parcours pour avoir fait cette course l'année dernière, je sais que la première partie est montante, sur chemins dégagés, alors que la 2ème partie est descendante et forestière.

Cette course est présentée comme un 10km, mais elle est aussi indiquée comme 9,9 km, alors que la distance du parcours présenté indique 9,39 km ! Au final, avec ma super montre GPS prêtée par Antoine, je verrai qu'elle indique 9,44 km !

Bref, le départ est donné, le rythme est rapide, quasi que des membres de club, c'est une course du Challenge du Vexin.
Entraînée, je pars trop vite. Mais je me rends compte de mon erreur car je ne suis pas coordonnée et j'ai du mal à trouver ma respiration. Les points de cotés arrivent assez vite mais je continue sans m'arrêter. Il y a de l'ambiance, nous passons dans les ruelles d'Auvers où les riverains nous encouragent et nous félicitent.

Des éponges dans un récipient d'eau sont mises à disposition car il fait chaud quand même ! J'en prends une. Le parcours se poursuit à travers champs, passant près du cimetière où reposent les frères Van Gogh.

J'attends avec impatience l'approche de la forêt parce que je sais que le plus dur est fait, qu'il y a le ravitaillement (où je bois un verre d'eau) et en plus, c'est un peu mon terrain de prédilection, bien que là, le sol est humide et il faut parfois contourner le tracé pour ne pas mettre les pieds dans la boue et surtout ne pas glisser.

L'arrivée est proche, après avoir quitteé la forêt, nous reprenons quelques petites rues toujours sous les encouragements, avant d'atteindre le stade et passer la ligne finale.

Verdict : 55'33 : je suis satisfaite par rapport à mon temps de l'an dernier qui était de 58'57.

Foulées des Peintre 2012 - Parcours et dénivelés

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11 juin 2012

09-06-2012 Emmanuelle et Philippe au Trail des Castors Fous

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Bonjour les bloggerama !


Le trail des castors fous porte bien son nom, "cette cоursе verte, еxіgеаntе à trаvеrs dеs sеntіеrs étrоіts еt sіnuеux. 20 montées еt dеscеntеs quі s'еnchаіnеnt sur tоut lе pаrcоurs.

Pаrtіе très tеchnіquе sаns récupérаtіоn pоssіblе еntrе lе 14 èmе еt lе 18 èmе km », des cotes entre 10 et 15% pour un dénivelé total de 550 m dans la vallée de la Bièvre à travers bois et champs."


Voilà ce qui était annoncé dès le départ. Nous sommes arrivés à Vauhallan, petit village où l’on se croit très loin de paris. 

Retrait des dossards et direction la ligne de départ après avoir récupéré notre cadeau : du miel de la ferme de Viltain qui est toute proche. On croise Pascale qui est elle aussi une « fan des trail ». 

Cette course propose 2 distances : 13 et 23 km. On entend les personnes autour dire « ça monte dés le début, attention à l’arrivée il reste encore une côte ». Avec ces informations peu rassurantes, le départ approche, décalé de 10 mn car de nombreux coureurs sont venus s’inscrire au dernier moment. 

Hop c’est parti, au début de grandes lignes droites goudronnées et voilà première montée, et à partir de là, le terrain sera vallonné tout le temps & on reste dans les bois et petits chemins. On court dans les herbes folles et les odeurs de la tonte fraiche sont bien agréables. 

Arrive le premier ravitaillement. On s’arrête quelques instants en partageant nos premiers commentaires. Le parcours est super, j’adore, on grimpe sur des troncs couchés au sol et même sur une botte de paille où 2 grands costauds nous aident à l’escalader. En pleine foret la pluie des jours précédents, a laissé ses traces, on court dans la gadoue, on glisse, et cela me fait beaucoup rire… Je me sens super bien, et sans pression du chrono, je me suis sentie presque « libre ». Mon chéri, lui, a des crampes, alors il ralentit et me dit de partir devant.

Moi je m’éclate, et pour la première fois je me retrouve toute seule sur un parcours. J’ai un peu peur, mais très vite je vois des trailers devant. J’accélère car je crains de louper le balisage. Plusieurs montées se font en marchant, impossible de faire autrement, il y a trop de gadoue, les premiers ont tous laissé leurs empreintes, ça colle aux chaussures et j’ai failli les perdre 2 fois !!!! Je prends cela avec le sourire et je rigole même toute seule - la situation est comique, les bras écartés pour ne pas glisser, des petits sauts de puce, je ressemble plus à une étoile de mer échouée qu’à une traileuse, mais j’adore
Plusieurs coureurs sont sur les côtés les crampes se font présentes, et les « gilets jaunes » viennent jouer le kiné. 

Je vois le panneau 20 km, en effet les distances sont notées et je suis partie tellement cool que je n’ai pris ni cardio ni podo !! alors sans ces indicateurs incapable de savoir ce qu’il reste à parcourir, je ne peux même pas écouter mon corps car je me sens bien, pas mal aux jambes, ni mon mollet [qui m’a fait souffrir ces derniers temps]. La température est idéale tout est parfait – il manque mon amoureux qui est derrière- seul bémol.

Je franchis la ligne d’arrivée en pleine forme et je fais demi tour pour aller au devant de mon Philippe que j’ai « abandonné », je croise Pascale et enfin Philippe je termine à nouveau avec lui. Il a bien su gérer ses douleurs pour terminer sans trop de séquelles. On termine respectivement avec 2h44 et 2h47. Je suis 20ème de ma catégorie mais je ne sais pas combien nous sommes en SF !!!!

Je ne pensais pas mettre autant de temps, mais il est vrai que les montées, et les descentes sont rudes et que l’on ne peut comparer avec un semi en calculant naïvement la différence des distances non non….cela ne marche comme çà !! Philippe a beaucoup aimé et compte bien en profiter encore plus lors de la prochaine édition, un peu mieux préparé.

C’était super je garde un excellent souvenir de ce trail et j’invite tous les amoureux de la nature et aimant la bonne ambiance, et un soupçon d’aventure à venir l’an prochain. Tous les bénévoles étaient charmants, les coureurs tous sympa. Maintenant un peu de repos pour préparer les 15 km du château de Versailles le 1erjuillet prochain,  avant des vacances bien méritées.

Trail des Castors Fous - dénivelés


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7 juin 2012

Week-end du 9-10 juin : Qui court où ?

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Ce week-end, nous retrouverons :

Pascale, Emmanuelle et Philippe sur les 23 km du Castor Fou et ses 550m de dénivelés positifs !

Nathalie au départ de la 19e édition des 10 km Foulées des Peintres à Auvers sur Oise (95)

Beaucoup de plaisir à tous les 3 et racontez-nous tout à votre retour :-)
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6 juin 2012

03-06-2012 Nathalie court les 14km du trail des 2F

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Départ pour le lieu où se déroule la course vers 12h45  
C'est la première fois que je participe à une course supérieure à 10 km alors j'angoisse déjà depuis la veille (mal au ventre) ! Je récupère mon dossard : il n'y a que 57 pré-inscrits ! Je me dis que j'ai peut être ma chance...

Le temps est splendide mais chaud, très chaud, le départ est donné à 14h tapantes. Je me rends compte que le kilométrage n'est pas indiqué : pas facile de gérer sa course sans montre high-tech !

On traverse la ville avant d'arriver au stade (lieu de l'arrivée) et de poursuivre sur les chemins à travers champs. Le soleil cogne dur ! Les chemins sont secs, parsemés de cailloux et graviers. J'ai repéré 2 "lièvres" : une coureuse avec un maillot vert mais je m'aperçois qu'elle court avec quelqu'un qu'elle coach puisqu'à plusieurs reprises, elle revient sur ses pas pour se mettre à la hauteur de son poulain, puis repart. Le 2ème lièvre est une fille à maillot blanc.

On pénètre ensuite dans la partie boisée du parcours : chemin de terre, parfois un peu humide, longue portion pavée puis coin sablonneux, et belle côte caillouteuse. J'avale 2 grands verres d'eau au ravitaillement et un quartier d'orange bien apprécié ! J'y retrouve mon lièvre blanc et repars avant elle. Le parcours se poursuit par de longues lignes droites en faux plats et toujours sous un soleil de plomb ! Mon lièvre est derrière et je garde la distance. 2 personnes de la sécurité nous offrent gentillement un verre d'eau (même 2 !) à un point de passage : encore bien apprécié ! Mon lièvre me rejoint et nous repartons ensemble mais j'arrive à la distancer et je ne me retournerai plus. Je dépasse aussi le poulain du lièvre vert.

Enfin, l'arrivée se précise et les derniers mètres se font sur la pelouse du stade. J'entends des "Allez Nathalie" : tiens, des supporters inconnus sont venus me soutenir ! Merci merci, j'arrive à grandes enjambées, tout sourire ! Et finalement, passant la ligne d'arrivée j'aperçois mon lièvre blanc à mes trousses, que je n'avais rien entendu sur le gazon ! Les supporters inconnus n'étaient pas venus pour moi mais criaient "Allez Magali" !!!

Au final, à l'affichage des résultats, j'ai l'heureuse surprise de voir que je suis 3ème V1F avec 1 heure 28 et 17 secondes, le lièvre blanc est 4éme, à 1 seconde près ! J'aurai pu rater le podium et la médaille. Ça aurait été dommage : avec la fête des mères j'étais en plus une maman championne !
 

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4 juin 2012

Happy Run le 6 juin dans le Bois de Boulogne

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Source : Runners.fr

Créé aux Etats-Unis, le National Running Day encourage les sceptiques à découvrir les bienfaits de la course à pied. Le 6 juin, Runners.fr relève ce défi à l’occasion d’un Happy Run géant. Participez à notre rassemblement communautaire : ambiance festive garantie !

F
idèle à la philosophie du National Running Day, les Happy Runs de Runners.fr se fixent pour mission de créer une atmosphère de rencontre entre coureurs de tous niveaux. Le 6 juin, nous installons nos quartiers dans le Bois de Boulogne, sur l’un des parcours traditionnels des runners parisiens.

Un point fixe (voir le plan) avec un ravitaillement offert permettra à chaque participant de vivre ce moment communautaire comme il l’entend. Celles et ceux souhaitant courir les 10km au programme du Happy Run du 6 juin pourront choisir le niveau qui leur correspond. Nous espérons être aussi nombreux que possible pour fêter dignement la journée de la course à pied et le plaisir de pratiquer notre sport au sein d’un vaste peloton.

Evidemment, l’équipe de Runners.fr se tient prête à entamer la discussion avec qui le souhaitera : notre objectif est réellement de passer un moment aussi convivial que possible.

Inscrivez-vous au Happy Run du 6 juin sur la page Facebook de l’événement et n’hésitez pas à ‘Liker’ notre initiative.

Merci de votre fidélité !

Happy Run du 6 juin(National Running Day)


Horaire : à partir de 19h
Où : Bois de Boulogne


Point de rencontre : Carrefour du Bout des Lacs (le ‘village’ Runners.fr sera très visible…)
Accès : Privilégiez les transports en commun
- Métro : stations Porte Maillot (Ligne 1), Porte Dauphine (Ligne 2), Porte d’Auteuil (Ligne 10)
- Vélib : de nombreuses stations sont implantées dans le Bois de Boulogne
Niveaux : débutants à expérimentés
Durée : 1h30
Distance : (environ) 10km
Assistance : Un ravitaillement sera offert
Boutique : il sera possible d’acquérir les t-shirts Runners.fr
Toutes les infos ICI
Posez vos questions à pascal.silvestre@runners.fr

L’ambition de Runners.fr est depuis le premier jour de créer une communauté soudée et solidaire. Les coureurs ont des jambes et des poumons. Ils ont surtout un cœur. C’est d’abord à la composante affective des runners de tous niveaux que nous voulons nous adresser. Les HappyRuns ont cette mission : nouer des liens, se faire des amis, partager, échanger sur les joies et les misères de l’entraînement, sur les courses à venir et celles déjà courues. Serez-vous à nos côtés le 6 juin ? Nous l’espérons…

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27-09-2012 Raphaël aux 20km de la Paris St-Germain en Laye

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PSG 2012 : Sophie et Raphaël
Pour ma 3ème participation à cette course, j’avais à cœur de faire mieux qu’en 2011 où j’avais souffert le martyr (à cause d’une gastro).

C’est donc à « peu près en forme » que je me présente au départ de cette course plutôt matinal (8 h !) et bien que je ne sois pas préparé sérieusement en course à pied (2 séances de tennis assez éprouvantes les jours avant la course !).

Malgré quelques douleurs habituelles au genoux gauche, la course ne se déroule pas trop mal ; comme je mets un point d’honneur à porter le débardeur CAP Groupama, je suis abordé par une ancienne salariée (à la retraite) de G2S que j’avais déjà rencontré sur le semi de Rueil Malmaison : échanges très sympas sur quelques kilomètres le long de la Seine.

En fin de course, la chaleur se fait de plus en plus sentir et la dernière côte avant l’arrivée au château de St Germain en Laye paraît interminable.

Je finis en 1 h 54 min 14 sec, un temps personnel bien meilleur qu’en 2011, mais Sophie a réalisé un meilleur temps : 1 h 48 min 55 sec.

Nous nous retrouvons, d’ailleurs, après la course en compagnie d’une de ses amies de jogging, Marie-Andrée, moment très sympathique de partage de nos impressions de course.

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