30 avril 2012

15-04-2012 Gilles, Jérôme, Raphaël : au Marathon de Paris !

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Malgré le vent et malgré le froid, Gilles, Jérôme et Raphaël étaient dimanche au départ du Marathon de Paris.

Voici leur récit :
Gilles
Une aventure tentée avec 1 entraînement hebdo seulement depuis 8 semaines. Je ne le recommande pas car physiquement éprouvant dans les derniers km. Malgré tout un chrono de 3h28 qui me convient alors que je ne savais pas vraiment si j'étais capable  d'aller au bout avec si peu de préparation ....

C'est plutôt la tête que les jambes qui a été décisive ...c'est promis la prochaine fois je m' entraînerai vraiment !
 
 
Jérôme
Après 3 semaines d’hésitation, la décision est prise de prendre le départ le 15 avril comme prévu pour participer à mon premier marathon.

Je maintiens aussi mon objectif de 3h15 même si celui-ci me paraît trop ambitieux compte tenu des douleurs des dernières semaines. Impossible de savoir si cela est dû à un excès d’entraînement (avec des nouvelles chaussures) ou un plan d’entraînement inadapté mais le résultat est là, désormais je ne peux plus courir sans ressentir une certaine douleur au niveau des péronés. D’après le kiné il ne s’agit pas de blessure musculaire, il y a donc peu de risque de blessure plus grave en participant au marathon. Rassuré sur mon état physique, je suis bien décidé à prendre le départ, mais il va falloir cependant intégrer ce nouveau paramètre dans la gestion de la course.


Première étape : le retrait du dossard
Je me rends donc Porte de Versailles le vendredi en espérant éviter la foule du samedi. Bonne surprise, le retrait se fait très rapidement, ensuite direction la « rice party » pour faire le plein de glucide lent avec un bon risotto champignon préparé par l’oncle Ben’s. Impossible d’éviter au passage le stand Asics qui présente toute sa collection de running. Il y a du choix mais ce n’est pas l’endroit pour réaliser des bonnes affaires, les produits étant affichés au prix fort sans remise commerciale !

Deuxième étape : préparer la course
Une fois le dossard en main, il est trop tard pour changer d’avis ! Il faut maintenant se préparer à courir les 42,195km.

Le samedi, je prépare mes affaires pour la course (inutile de se rajouter du stress le dimanche matin à préparer ses affaires en dernière minute) et je visualise à nouveau mentalement le parcours. Cette course sera découpée en 4 phases : du départ au bois de Vincennes, la boucle dans le bois de Vincennes, de Vincennes à Boulogne (les quais) et la dernière étape dans le bois de Boulogne. Si je passe le cap du Bois de Vincennes (sans trop de douleurs) je sais que je pourrais aller au bout de la course.

Dimanche, levé à 6h00 ! J’avale (sans vraiment le savourer) le « gatosport » au chocolat préparé la veille (cela fait parti du « pack marathon » d’Overstim’s). Je ne sais pas si c’est efficace mais ce n’est pas bon du tout (il faudra trouver autre chose la prochaine fois).

Il reste à se décider sur la tenue : compte tenu du temps le choix s’avère en effet difficile, à 6h00 il fait frais mais cela peut changer. Par prudence je décide de prendre la tenue la plus chaude, cela fût d’ailleurs le bon choix car en fin de matinée il faisait extrêmement froid. Je laisse mes nouvelles chaussures au placard et je prends finalement les vieilles, l’amorti n’est plus très efficace mais je sais qu’elles ne me causeront pas de blessure supplémentaire.

J’enfile ma ceinture équipée des 2 gourdes (elles me serviront le cas échéant à ne pas m’arrêter aux ravitaillements, si c’est trop la bousculade, ou à m’hydrater en cas de besoin) et des différents gels du « pack marathon » d’Overstim’s.

Troisième étape : la course
J’arrive à 7h45 place de l’Etoile, non sans mal car le métro était bondé de coureurs de toutes les nationalités, direction les vestiaires pour déposer mon sac et retrouver deux amis qui se sont aussi inscrits dans le sas jaune. Je descends l’avenue Foch en petite foulée histoire de m’échauffer un peu.

Une fois le sac déposé, on rejoint notre sas sans trop de difficulté. L’accès au sas est contrôlé et se fait par une petite porte. Il faut donc bien se positionner au moment de l’inscription car il n’est a priori pas possible d’accéder à un autre sas.

L’ambiance est festive, la musique est à fond et les animateurs font monter la pression à quelques minutes du départ. A partir de 8h45 les départs se font par vagues successives. On aperçoit devant nous les drapeaux des meneurs d’allures qui culminent au dessus des têtes. Ils seront faciles à repérer et à suivre pendant la course.

Ca y est le départ est donné, l’avenue des Champs s’offre à nous, pas de bousculade ni de coude à coude, dès le départ chacun se positionne derrière les meneurs d’allures. Ce qui m’impressionne d’emblée c’est la régularité de l’allure de tous les coureurs qui m’entourent. On court tous au même rythme et on suit le drapeau jaune (sans se poser de question).

Quel plaisir de descendre la rue de Rivoli au petit matin sans le bruit de la circulation ! Après le brouhaha du départ, il règne un calme étrange comme si chacun cherchait à profiter de ce moment privilégié.

Pendant les 5 premiers km j'ai redouté l’apparition de la douleur. Elle est finalement arrivée et ne m’a plus lâchée ! Malgré tout j'ai maintenu l'allure en espérant que la douleur reste supportable, ce qui fût le cas sur 31 km.

J'ai donc suivi mon petit drapeau jaune (tant bien que mal) pendant tout ce temps malgré l’apparition d'autres douleurs, cette fois musculaires et bien plus fortes (cuisses/mollets) qui ont commencé à se faire sentir à partir du 27ème km et à devenir franchement insupportables après le 31ème km (juste après les quais dans la côte rue Mirabeau).

A ce moment là on comprend pourquoi il est si difficile de faire un marathon. Passé une certaine distance, les effets physiques sont sans commune mesure avec ce que l’on ressent pendant les entraînements.

J'ai donc stoppé net ma course, tant pis pour l’objectif de 3h15, et j'ai marché un peu pour récupérer et soulager mes muscles, je suis reparti pendant 3km puis rebelote. Après le 36ème km j'ai alterné course/marche, chaque pas sur le bitume était devenu insupportable.

A ce moment là, les cris d'encouragements et les regards compatissants des gens venus regarder les coureurs ont une importance primordiale. Cela donne le petit coup de fouet pour repartir. C’est d’ailleurs ce que je retiens le plus de cette course, la foule venue encourager, soutenir ou simplement regarder le spectacle de cette marée humaine qui envahit les rues de Paris.

J'ai tout de même réussi à franchir la ligne en 3h35. C’est certes en deçà de mon objectif initial et la foulée est nettement moins légère qu’au départ, mais au vu des difficultés je suis vraiment content d'être arrivé au bout. Une fois la ligne d'arrivée franchie, je me suis senti dans un état "second" (un peu hébété), je crois que la tension de la course est retombée d'un seul coup et à ce moment là c'est un mélange de satisfaction, de joie et de souffrance. Tous les coureurs doivent ressentir la même chose car autour de moi le spectacle n’était pas très brillant non plus.

Dernière étape : le retour à la réalité
Inutile de préciser que les douleurs après la course sont « importantes » et que l’après midi qui a suivi il ne fallait pas me demander quoi que ce soit. La seule chose supportable étant de rester assis.

Les deux jours suivants n’ont pas été mieux : marcher est une épreuve (surtout les escaliers). Il faut attendre le 3ème jour pour retrouver une certaine souplesse musculaire et une marche normale.

Evidemment après avoir franchi la ligne d’arrivée, bien qu’heureux d’avoir été au bout, on se demande si souffrir autant a du sens.

Le lendemain, après une bonne nuit de sommeil, on ne pense qu’à une chose c’est comment améliorer sa préparation pour faire mieux la prochaine fois !



Raphaël
Mon voisin Laurent (toujours le même !) s’est désisté pour le Marathon de Paris et m’a donné son dossard avant de partir en week-end !

Je me suis, donc, senti « moralement » obligé de l’utiliser et me voilà donc dimanche matin à 8 h 45 dans l’avenue des Champs Elysées (sous un froid glacial) baigné dans cette ambiance particulière d’un marathon, qui plus est celui de Paris où j’ai vécu les moments les plus forts.

J’avais participé, en effet, plusieurs fois à ce Marathon de 1993 à 2004 : c’est en avril 1995 que j’ai réalisé ma meilleure performance (3 h 15), un temps qui me paraît « surréaliste » aujourd’hui ; en 2000, j’essayerai de battre ce record mais ce sera une désillusion (3 h 23), ce seront mes 2 seuls marathon en dessous de 3 h 30.

Mais ce dimanche 15 avril 2012, je n’ai aucun objectif et aucune pression ..et je n’ai pas prévu de finir la course n’ayant quasiment aucun entraînement.

Je vais finalement courir sur une distance de 22 km 500 environ (arrêt à Bastille), j’ai retrouvé de bonnes sensations de course à pied ce qui est de bonne augure pour l’avenir !
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19 avril 2012

15-04-2012 Pascale, Hubert et Olivier au semi-marathon d'Annecy !

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C’est l’histoire d’un week-end sportif réussi, malgré la pluie.

Après un voyage en TGV, nous avons retrouvé Olivier à Annecy vers 13H30.

Comme il pleuvait nous avons décidé de nous rendre directement sur le lieu de l’hébergement à Sévrier dans le village de vacances «les balcons d’Annecy» à 8 KM d’Annecy. Nous avons pris un autocar. La directrice du centre de vacances est ensuite venue nous chercher à l’arrêt de bus pour nous emmener au village de vacances.

Olivier avait réservé en pension complète, ce qui s’est révélé très confortable car nous n’avions pas à réfléchir pour les repas et le tarif était abordable.

Le marathon se courait à Annecy le dimanche matin, le départ du semi-marathon était à 14 H. Le petit déjeuner et le déjeuner étaient adaptés aux horaires de courses, très pratique également.

Un autocar était prévu pour conduire environ 25 personnes au départ du semi. Une bonne ambiance régnait durant le trajet.

Des sas étaient prévus selon le temps visé. A 14 heures le top départ est donné, sous la pluie et par une température de 8°.

Plus de 4 000 participants se sont élancés. Le parcours emprunte la piste cyclable qui longe le lac d’Annecy. Avec Hubert nous avons un peu de difficulté à nous rapprocher du meneur d’allure des 2 heures.

Au 7ème km nous voyons les champions kenyans sur la boucle du retour, cela fait réfléchir, mais juste un court instant.

Au 10ème kilomètre, nous perdons de vue le meneur d’allure. Est-il derrière, est-il devant ? Nous apprendrons à l’arrivée que son porte drapeau s’était cassé au 10ème KM .Mais peu importe nous avons notre chrono.

Au 13ème km, Hubert part devant mais je m’arrange pour ne pas le perdre de vue. Comme à l’aller il y a très peu de dénivelé, la pluie est toujours présente et le vent s’est levé.

Finalement nous finissons en moins de deux heures, Hubert en 1h56m 40s et moi en 1h58m 10s. Olivier a très bien couru et a fini en 1h38 56s.

Nous avons repris le TGV de 12 H31 le lundi après avoir effectué une visite du vieil Annecy au bord des canaux et du lac. La pluie s’était calmée.

Pour conclure ce fut un week-end très agréable, l’hébergement était vraiment bien avec les repas préparés, les chambres au calme et l’ambiance « course à pied » qui régnait un peu partout dans la salle restaurant et dans les parties communes. Le semi-marathon était très bien organisé. Le marathon du Lac d’Annecy fêtait son 33ème anniversaire. Il est, après Paris, l’un des plus anciens marathons de France. Chaque participant a la possibilité d’établir sa meilleure performance sur un parcours roulant dans un décor unique.
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17 avril 2012

Marathon de Paris 2012 : Stanley Biwott grand gagnant !

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Source : Vo2.fr
  
Alors que l’énorme édredon de coureurs se vidait par vagues successives pendant plus de 45 minutes, les coureurs Est-Africains prenaient Paris d’assaut à une allure proche de celle dictée la veille lors du briefing avec les managers.

Objectif : 2h 04’ – 2h 05’ selon les conditions météos du jour. Du vent annoncé, perturbant les prévisions du chef d’orchestre, René Auguin, le boss du plateau qui compose chaque année la partition.

Et quelle belle composition, quelle symphonie avec 12 marathoniens soufflant sur cette feuille de style sans croche ni accroche avec ces foulées d’une limpidité totale. Et sous le bruit de ces pas effleurant le pavé parisien, des chronos s’imprimant comme des roulements de tambour secs et nets :

29’21 au 10 km,
58’45 au 20 km,
1h 01’38 sur semi
soit un temps final de 2h 03’40 et 1h 13’40» au 25ème km par des lièvres appliqués et méthodiques recrutés sur leur potentiel à courir le semi en 1h 01’.

Le record de Vincent Kipruto soit 2h 05’47» pouvait-il être battu ?
La question se pose toujours sur les quais de la Seine lorsque le tracé ondule avec des passages multiples sous les ponts même si les spectateurs se massent plus nombreux pour applaudir un chapelet de coureurs avec le trio Biwott Assefa , Jisa en tête.

Au 30ème km, Stanley Biwott s’échappait. Un démarrage logique pour le favori de la course qui était venu à Paris en mars se tester, remportant le semi en 59’44. Un coureur que René Auguin avait repéré à Reims en 2009 lorsque ce jeune kenyan remportait à 23 ans l’épreuve en 2h 09’41.

Il s’engageait dans une course solitaire, bien en ligne, creusant un écart colossal avec deux certitudes, la victoire et le record. Soit la belle somme de 60 000 euros ramenée à 40 000 euros après déduction des taxes et pourcentage manager réalisés

Stanley Biwott remporte ainsi l’épreuve en 2h 05’10.
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16 avril 2012

Monique s'entraîne pour la course du Viaduc de Millau

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Le week-end du 18 mars, Monique est allée passer un week-end à Millau pour juger et prendre la température de la course de 23km qui l'attend le 13 mai prochain : la course du Viaduc de Millau.

Le 13 mai, il s'agira effectivement de traverser, à l'aller et au retour, le viaduc d'une longueur de 2,5 km. Tout porte à croire que la beauté du paysage du haut du viaduc est à couper le souffle !

Mais, la prinicipale difficulté de cette épreuve, c'est la montée de la Piste Nord, juste avant d'atteindre le viaduc. Elle se compose de 4 sections pour une longueur totale de 2,320 km et monte en 3 grands lacets pour passer sous le Viaduc.
Première section : 390 m. On arrive du plat, on est dans l'euphorie pour attaquer la côte
Seconde section : 430 m. La pente devient plus difficile et la route se ressert, elle ne fait que 5 m de large.
Troisième section : 590 m. On peut relancer dans le virage, on souffle sur une 50 mètres et on repart !!!
Quatrième section : 910 m. La plus difficile, la pente la plus forte, sauf les 200 derniers mètres où l'on peut retrouver du souffle et relancer avant d'atteindre le portail et le ravitaillement.



Voici le retour de Monique qui est allée juger du parcours avec d'autres téméraires !
Tout d'abord, 1ère impression : les Millavois sons très sympathiques et la région super belle ! 

J'ai eu de la chance avec le temps qui finalement était idéal pour courir : il devait faire environ 10° mais pas de vent (il "tombait des cordes" et il y avait du vent à 6h00 du matin mais ça s'est arrêté vers 8h00 !)

Le "parcours découverte du parcours" qui devait faire 16-17 kms a finalement été raccourci à 14 km mais ce qui intéressait tous les participants, c'était bien sûr la grande montée de 2,3 km.

En fait, j'ai fait comme tout le monde : j'ai couru, marché, couru, ... et du coup, j'ai été étonnée d'être déjà arrivée en haut sans trop avoir souffert.

Pour la descente, ils nous ont fait passer par un petit chemin de terre très sympathique avec une super vue sur le viaduc.

En tous les cas, ce petit W.E. m'a bien rassuré mais j'ai également pu constater qu'il y avait encore beaucoup d'entraînements à faire !
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12 avril 2012

Week-end du 14 et 15 avril 2012 : qui court où ?

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Gros week-end que le week-end du 14-15 avril !

Il s'agira non seulement du départ en vacances de nombreux de Parisiens, mais également et surtout, d'un bon et gros week-end sportif !


Dimanche 15 avril marathon de Paris

Paris ouvre ses rues, ses avenues et ses bois aux coureurs de tout horizon !

Le marathon de Paris est l'un des 5 plus importants marathons du monde (New-York, Londres, Berlin, Paris, Chicago), tant par son nombre de coureurs (plus de 40.000 inscrits de 20 nationalités différentes) que par la logistique et la couverture médiatique mise en place pour couvrir l'événement.

40.000 coureurs qui prendront le départ à 8:45 de l'Arc Triomphe. Ils descendront les Champs Elysées, traverseront la place de la Concorde, Bastille, regagneront le Bois de Vincennes puis reviendront dans Paris en passant par Notre Dame, la Dame de Fer, les routes du Bois de Boulogne et termineront leur escapade de 42.195 km avenue Foch, proche de l'Arc Triomphe.

Jérôme, Didier et Gilles représenteront les couleurs de l'association.



Le marathon d'Annecy est, après Paris, l'un des plus anciens marathons de France. Il fêtera cette année son 33e anniversaire.

Plus de 7.000 coureurs, venus du monde entier, sont attendus dimanche : 3200 au marathon, 3900 au semi. Le parcours, entre lac et montagnes, lui permet d'être désigné comme l'un des plus beaux marathons de France.

Pascale, Hubert et Olivier représenteront les couleurs de l'association sur le semi-marathon.


Bonne chance et bonne course à tous les 6 !
Nous vous souhaitons du soleil, des jambes au top mais surtout et avant tout beaucoup de plaisir !


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11 avril 2012

Cap Groupama à la Une sur Emeraude !

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A la suite de notre séjour à Varsovie pour courir le semi-marathon dans les rues de la capitale polonaise le week-end du 25 mars dernier, la Communication Interne de Groupama SA a accepté de mettre à la Une de notre intranet Emeraude, un encart sur ce week-end sportif, spécial adhérents.

Voici une capture écran de l'article publié dans Emeraude, ainsi que le lien vers le récit mis en ligne sur le blog de l'association.

Lien vers l'article du blog : Cap Groupama au semi-marathon de Varsovie



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10 avril 2012

Marathon des Sables 2012 : suivez l'aventure de 900 coureurs au courage exceptionnel !

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Du 7 au 14 avril 2012, retrouvez à l'antenne de TV5MONDE et sur son site Internet un résumé quotidien (5') du 27ème Sultan Marathon des Sables, présenté par le journaliste Clément Meunier. 


Des résumés conçus pour permettre aux téléspectateurs du monde entier de suivre cette aventure humaine au jour le jour, de partir à la rencontre de ces 900 concurrents de l'extrême venant des cinq continents (50 nations différentes), de comprendre leur motivation, ou encore d'entrer dans les coulisses de l'épreuve. L'occasion aussi de voir les plus belles images du parcours, et de relayer l'exploit sportif avec les classements quotidiens, les images fortes ou les faits du jour. 

Le parcours :
1ère étape - 8 avril : 33,8 km 
2ème étape - 9 avril : 38,5 km 
3ème étape - 10 avril : 35 km 
4ème étape - 11/12 avril : 81,5 km 
5ème étape - 13 avril : 42,2 km 
6ème étape - 14 avril: 15,5 km 


Le site internet du Marathon des Sables, édition 2012 : MDS 2012

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3 avril 2012

Cap Groupama au semi-marathon de Varsovie !

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Le week-end annuel de l'association CAP GROUPAMA avait lieu cette année à Varsovie du 24 au 26 mars.

11 adhérents ont fait le déplacement jusqu'à la capitale Polonaise pour retrouver Olivier, ex-adhérent de l'association installé depuis plusieurs mois à Varsovie. Olivier s'est avéré être un excellent guide touristique et culinaire !

Sans lui, pas de pierogi -sorte de gros raviolis farcis de pommes de terre, fromage, chou...(c'est au choix et c'est excellent !) -pas de Zurek (à prononcer Joureg) -soupe que je vous conseille de goûter dans son pain (visuellement, c'est apétissant et une fois en bouche, on ne le regrette définitivement pas !).

Mais ce week-end à Varsovie fut également sportif ! Oui, oui :)

Nous avons tous pris le départ du semi-marathon de Varsovie le dimanche 25 mars à 10h00.
Pour certains, ce fut une première ! Florence et Emmanuel couraient leur premier semi. Quelle performance !

Pour d'autres, ce fut l'occasion de tenter de battre certains records. Records battus !

Assez de bavardages, je vous laisse lire les récits :)

- CATHERINE ET PASCAL -
Levés aux aurores, nous rejoignons nos collègues de course samedi midi à l'aéroport de Varsovie. 

Direction l'hôtel où nous rejoignons Olivier, actuellement en poste à Groupama  Pologne, reconverti le temps d'un week-end en guide touristique. 


La visite commence par une halte dans un restaurant typique où nous goûtons aux raviolis traditionnels. Malgré la fatigue du voyage, la bonne humeur est déjà au rendez-vous. Repus, nous partons à pied à la découverte des rues de Varsovie où les parcs occupent une place de choix. 
Pierogi

Le lendemain matin, nous nous retrouvons tous à 10 heures sur la ligne de départ. Malgré un ciel bleu et un beau soleil, le vent est au rendez-vous. 

Après un parcours de 21,1kms à travers la ville, nous franchissons tous un à un la ligne d'arrivée. Sandrine et Ignacio arrivent les premiers. 

Nous nous retrouvons l'après-midi autour de spécialités culinaires polonaises. Chacun échange ses impressions sur la course et Varsovie dans une ambiance très conviviale. Histoire de s'assurer que tous les coureurs ont bien écouté les explications d'Olivier, notre guide de l'étape, nous répondons à quelques quiz préparés par Sandrine, Emmanuelle et Michel.

Un grand merci à Michel pour l'organisation de ce week-end sportif placé sous le signe de la bonne humeur  !
Notre voyage se termine lundi après-midi. Nous reprenons l'avion pour Paris la tête pleine d'agréables souvenirs et attendons avec impatience le prochain week-end organisé par CAP GROUPAMA

- MICHEL -
24-26 mars WE bien rempli pour l’équipe Cap Groupama qui s’est rendue en Pologne pour participer au semi marathon de Varsovie.

Dans les sas, en attendant le départ, surprise on pouvait entendre parler français et nos maillots aux couleurs de Cap Groupama ont facilité le contact avec les expatriés.

Parcours urbain, empruntant de larges voies de circulation (Varsovie en grande partie rasée pendant la 2ème guerre mondiale a été reconstruite laissant place à des réaménagements implacables pouvant dérouter le visiteur !).
Bien que longeant en partie la Vistule le parcours réservait quelques surprises avec notamment 2 belles cotes dont une à 2 km de l’arrivée.

Coté Météo : beau temps mais sur fond d’air très frais.


Les temps réalisés par les coureurs Cap Groupama s’échelonnent entre 1 h 40 et 2 h 39.

Une arrivée au Stadion Narodowi flambant neuf construit en prévision de l’Euro Foot 2012 la Pologne est avec l’Ukraine co-organisatrice de cet événement en juin 2012.
Le reste du WE a été consacré la découverte de la ville qui comporte beaucoup d’espaces verts, des bâtiments tirés au carré, de larges axes de circulation, des transports en commun multiples : tramway (d’époque ie avant l’arrivée de la démocratie en 1989), bus, métro, un quartier correspondant à la vielle ville qui a été entièrement reconstruit à l’identique (magnifique), la visite d’un musée : musée de la Culture et des Sciences une tour dans le plus pur style soviétique avec des décors massifs.
Musée de la Culture et des Sciences

Centre ville historique


Présence Française importante au travers des marques comme Carrefour, Auchan, Leclerc, BNP, Crédit Agricole,…

Des chantiers multiples, une ville en plein développement.

Pour rejoindre l’aéroport pressé par le temps la solution sécurisée passait par le taxi. Le conducteur haut en couleur n’arrêtait pas de parler de pôle position sans doute par assimilation à Robert KUBICA le pilote F1 du pays, nous avons aussi compris que les 3 mots : taxi, police et money permettaient d’arriver à franchir beaucoup d’obstacles, bref un sésame du temps d’avant toujours en cours.

Un grand merci à Olivier F, coureur à pied travaillant dans notre représentation Varsovienne, qui nous a servi de guide et a facilité le bon déroulement de notre séjour.

- FLORENCE -

3 jours pour découvrir Varsovie et courir mon 1er semi-marathon ! Pour découvrir "Warszawa", nous avons nous dû nous mettre rapidement au polonais et à tous ces mots incroyables, ainsi qu'à la nourriture polonaise (pierogi qui sont les raviolis locaux, zurek qui est la soupe servi dans une miche de pain, Kompot boisson à base de cranberry,...).



Zurek
Coté semi-marathon, je l'ai fini ! Emmanuel m'a accompagné pour les 9 premiers km. Nous sommes partis doucement sous la fraicheur et un petit vent et avons accéléré progressivement sous l'impulsion d'Emmanuel. Tout allait bien jusqu'au 14ème km et sa côte, la suite est devenue de plus en plus difficile. J'ai continué et réussi à accélérer dans les 2 derniers km. L'arrivée n'était pas où je pensais mais plus loin, on s'est tous fait surprendre ! Le chrono final est une bonne surprise : 1h55min ! La fin de la journée a été longue et pleine de courbature ! A quand le prochain semi ?

- EMMANUELLE ET PHILIPPE -
Varsovie, prenons le CAP !!!
Notre premier week-end avec l'association s'est déroulé fin mars pour le semi de Varsovie, nous connaissions quelques coureurs, mais pas tous, mais nous savions que nous venions tous pour partager la course et la bonne humeur avec un brin de tourisme !!! Et la joie de retrouver Olivier notre expat polonais.

Ce fut chose faite, la logistique était bien rodée (merci Michel & Olivier) et nous avons passé un week-end sous le soleil (c'est une chance : 3 jours sur leurs 50 jours d'ensoleillement par an, c'est la classe !). Malgré les grandes balades la veille de la course, qui cassent un peu les gambettes, nous avons fait un bon chrono en ce qui nous concerne même si notre objectif de moins de 2h n'a pas été atteint à 2 petites minutes [certainement la faute de pierogi aux choux]!!

Au départ de la course nous avons rencontré des français et malgré le vent le départ est pour moi toujours un grand moment mêlé d'angoisses et d'excitations.

La course était particulièrement bien organisée, les ravitaillements manquaient un peu de nourriture mais c'était trés chouette.

Quant à Varsovie, la veille ville est belle, les restos sont trés sympa et pas chers et les polonais manquent de sourires ; alors nous avons tous souri et rigolé pour eux. Ce fût trés agréable. Le groupe a passé du temps ensemble dans une excellente humeur, avec des fous rires réguliers et une grande complicité et beaucoup de mixité.



Philippe et moi en gardons un excellent souvenir, merci à tous de vos bonnes humeurs et à la prochaine fois avec grand plaisir.
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