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Et bien je n'ai peur de rien ! Moins d' une semaine après le semi de Cork et revenue entière, un peu fatiguée du décalage horaire (!), me voici engagée sur un trail de 23km, et pas des moindres, le Castor Fou. Une vraie folie en effet !
Départ donné a 18h dans une chaleur moite, un ciel bien menaçant au dessus de nos têtes. Parcours très accidenté, côtes excessivement pentues et descentes abruptes, petits chemins sinueux a travers champs et forêt très sombre. La frontale aurait été appréciée par certains endroits ! Il ne fallait pas se perdre. Je gardais toujours quelques silhouettes en point de mire. Et au 17ème km, les gouttes ont commencé à tomber, puis l'orage de grêle (ouille !) accompagné d'éclairs déchirant le ciel et ses grondements de tonnerre ! Des trombes d'eau me sont tombées dessus pendant les 6 derniers kilomètres qu'il me restait à parcourir, et pas les plus rapides. J'étais douchée, rincée plusieurs fois, et en mini tenue du fait de la chaleur de l'après midi, je commençais à greloter sur la fin ! Le reste du parcours s'est accentué en difficultés, le terrain devenu boueux et glissant.
Même si mon temps n'est pas des plus glorieux 3h12 (!), j'ai battu mon record en endurance, acquéri de l'expérience et accumulé la distance d'un Marathon dans la semaine, sans douleur et sans blessure.
Alors oui on en bave sur ces courses vertes mais affronter Dame Nature restera toujours du plaisir pur !
Départ donné a 18h dans une chaleur moite, un ciel bien menaçant au dessus de nos têtes. Parcours très accidenté, côtes excessivement pentues et descentes abruptes, petits chemins sinueux a travers champs et forêt très sombre. La frontale aurait été appréciée par certains endroits ! Il ne fallait pas se perdre. Je gardais toujours quelques silhouettes en point de mire. Et au 17ème km, les gouttes ont commencé à tomber, puis l'orage de grêle (ouille !) accompagné d'éclairs déchirant le ciel et ses grondements de tonnerre ! Des trombes d'eau me sont tombées dessus pendant les 6 derniers kilomètres qu'il me restait à parcourir, et pas les plus rapides. J'étais douchée, rincée plusieurs fois, et en mini tenue du fait de la chaleur de l'après midi, je commençais à greloter sur la fin ! Le reste du parcours s'est accentué en difficultés, le terrain devenu boueux et glissant.
Même si mon temps n'est pas des plus glorieux 3h12 (!), j'ai battu mon record en endurance, acquéri de l'expérience et accumulé la distance d'un Marathon dans la semaine, sans douleur et sans blessure.
Alors oui on en bave sur ces courses vertes mais affronter Dame Nature restera toujours du plaisir pur !
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